J’étais arrivé dans le bureau de mon frère. Oui je lui avais saute au cou avec des reproches de pas avoir étais là pour moi. Je sais que cela peut pareil égoïste de ma part. Mais j’avais pense a lui parle. Parfois, je pensais juste à moi. Donc j'étais partie sur une grosse chicane de famille. Je n’étais vraiment venue pour ça. Je devais lui dire ma façon de panse. Mon petit frère l’avait frappé. Moi, j’aurais jamais à faire une telle chose. Donc je lui avais ma façon de penser. Je prends qu’il a perdu sa famille, mes deux frères moi, on avait relation quelle une peu différente de celle de moi et Devons. Même si on était proche d’âge. Ce n’était pas pareil qu’avec mon grand frère. Il avait toujours l'important pour moi.

J’avais fait de mon mieux pour être là pour lui. Mais c’était plus fort que moi. Il a bientôt 4 mois. Mon prof de sport m’avait violé. Je ne dormais plus du tout. Je pleure tous les soirs dans mon sommeil, car je voyais cette scène tout dans ma tête. Je prends une bonne respiration. Bref on n’avais tout des chose dure dans nos vies. Pas de la même façons, il se calme tout à coup. Il me demande si je veux un verre d’eau. Je prends une bonne respiration. Je le regarde.

Oui je voudrai encore si ça ne te dérange pas Dev.


Je lui serre toujours la main vraiment fort. Je pleure. J’ai vraiment peur. Puis c’est là que je décide me laisser. Je lui dis que je me suis fait violer. Il me regarde sans rien. Je vois qu’il était tout état. Je sais que lui fait de la peine. J’aurais aimé qu’il soit pour moi. J’essaie rêve mon maudit cauchemar et par la suite, je trouve dans les bras de Devons. Et oui, il avait toujours trouvé le moyen de me calmer dans tous mes cauchemars depuis ma tendre enfance. Mais il était là. Je voulais depuis 4 mois. Mes parents me trouvent très distance et me posent plein de questions. Mais je ne disais rien Même mes petits frères essaie dans le savoir plus . Mais je ne disais rien Même, mes petits frères essaie dans le savoir plus. Je ne comprends pas. J’ai entendu ma mère. Pourquoi Devons est jamais quand on a besoin de lui. Car elle savait que je dirais tout à mon grand-frère comme je l’avais toujours fait.

Je pleure toujours. Je lui tiens vraiment fort la main. Il m'attire contre lui. Je me blottis contre lui. Je le serre vraiment fort. J’ai toujours des larmes coule sur mes joues. J’ai peur. Sa présence me rassure quand même. Je reste contre lui. Je prends de bonne respiration pour essai de calme. La pression commence à redescendre, c’est fou, ses bras me font du bien. Pourquoi il m’a répondu quand j’ai écrit 911 ? Dev appelle, c’est vraiment important . Bref, il était la maintenant.
Je laisse recule. Il lance ses mains autour de mon visage. Je le regarde dans les yeux. Je garde mon front contre lui. Je prends bonne respiration. Il me répète que tout va bien aller.

Spoiler:

Moi, je sais que ne vas pas aller du tout. Je suis enceinte. Je ne dors pas. Je ne me sens pas bien dans mon corps. Je veux juste reste ainsi. Je mets une main sur mon ventre. Je reste commença contre Devons. Je dis doucement.

Non ça vas pas aller… Je dors plus.. j’ai réveil a tout ça.. Tu crois qu’on pourrait ensemble comme quand j’étais enfant que je fessai un cauchemar ce soir… Tu penses que pourrais venir vivre chez toi ?

Je venais de lui demander. Car j’avais besoin de dormir, je me caresse le ventre. Je dois dire que je suis enceinte. Je reste dans cette position qui me rassure me fais du bien. Je me demande comme je peux lui annoncer l'autre bombe. Car je sais qu’il va réagir. Je ne veux pas de reproche. Je sais qu’il sera surement contre, mais je suis contre l’avortement alors. Je souffle.

Dev… Il as. Pas que ça.. Je suis.. en..Enceinte… Dis-je d’un voix tremblante.

Un cauchemar, un putain de cauchemar…voilà ce que c’est ! Allez Dev’, tu vas bientôt te réveiller et tout ce foutoir ne sera qu’un sale souvenir ! J’imagine que c’est ma punition pour avoir tourné le dos à ma famille ? Et pourtant, je tiens toujours son visage chétif entre mes mains… tremblant sous ses sanglots. Putain…c’est bien réel. J’ai beau lui dire que tout se passera pour le mieux, je n’y crois pas moi-même. Non mais comment est-ce que ça pourrait aller ? Cet enfoiré a profité de son innocence, de sa naïveté ! Il l’a souillée ! Une chose est sûre, c’est un homme mort. Je jure que je le retrouverai et je lui ferai la peau. Rien à foutre des lois.

Elle se calme un peu et me demande davantage de réconfort. Je dois avouer…je ne suis pas très doué pour ce genre de chose, surtout depuis la disparition de Lexie et D'Andy. Je prends une profonde inspiration pour contenir le mal actuel qui me ronge. Ce n’est pas parce que je leur ai tourné le dos que je suis devenu un enculé envers mes frangins. Je ne suis qu’un homme brisé, qui ne sais comment réconforter sa petite sœur en détresse. Je me souviens quand Andy faisait un cauchemar : je me glissais dans sa chambre, le prenais dans mes bras et l’enlaçais en lui susurrant à l’oreille les tendres mots d’un père à son fils. Peut-être que c’est ça qu’Evelyne attend de moi. Je me recule et la fixe droit dans les yeux.

Pourquoi moi ? Pourquoi tu m’as choisi alors qu’on ne se parle plus ? Pourquoi tu n’as pas demandé à Damian qui a été un bien mieux frère que moi ? Je marque une pause puis soupire, Il est au courant ? Et les parents, tu leur a dis ? Je n’ose guère imaginer sa réaction, ou encore celle des parents. Malgré nos différents, Damian et moi sommes pareils…enfin…nous l’étions. Après tout, il doit avoir changé depuis le temps. Pourquoi ai-je le sentiment d’être le seul au courant de cette histoire ?

Evelyne me regarde, le regard plein de tristesse et de mélancolie. Puis, elle prend une profonde inspiration et me demande si je peux l’héberger chez moi. Bah putain…alors là, je dois dire que je ne m’y attendais pas du tout. Je ne sais pas trop quoi répondre, après deux ans de silence, l’idée qu’elle loge chez moi ne me plait pas. Nous avons eu bien trop de différents. Pourtant, je ne peux pas la laisser seule dans un état pareil traverser une telle situation, d’autant plus que le coupable court toujours. Je reste un instant silencieux, puis je daigne enfin lui répondre.

…okay…tu peux t’installer chez moi le temps que la situation se calme un peu et qu’on règle tout ça. Mais ensuite…ensuite, tu devras t’en aller. C’est cruel de ma part je sais. Mais mettez-vous un peu à ma place...personne n’est venu chez moi depuis…depuis l’accident. Remarque, ça mettra sûrement un peu de gaieté à la maison…

Je t’installerai dans la chambre d’ami. J’te préviens, je ne suis pratiquement jamais à la maison. Je bosse souvent de nuit.

Comme si la bombe qu’elle m’a précédemment lâchée ne suffisait pas, elle m’en rebalance une deuxième, qui cette fois-ci m’achève complètement. Pétrifié, choqué, je la dévisage en silence. Enceinte ? Enceinte. En..ceinte ? ENCEINTE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Mon regard se perd dans le vide loin devant moi. Je me sens pris de vertiges, les jambes flageolant sous mon poids. Je lui tourne le dos, m’accoude sur le bureau en déposant ma tête entre mes mains, observant le bois froid et dur de mon pupitre.

Le silence est extrêmement pesant. Je suis incapable de vous décrire ce que je ressens en ce moment même. Colère ? Rage ? Fureur ? Peur ? Rien de tout cela étrangement. Je dirais plutôt, le vide intersidéral. Je suis comme déconnecté de la réalité, comme si quelqu’un venait d’appuyer sur le bouton off. Je perçois la voix d’Evy qui m’appelle au loin, mais je suis un tel état de trans que je suis incapable penser ou répondre quoique ce soit. Après plusieurs tentatives, sa voix me ramène brusquement sur terre. Je réalise soudain ce qu’elle venait de me confesser.

Enceinte, dis-je avec amertume.  Je me retourne et lui fais face.
C’est une plaisanterie ?

Après un vide complet, toutes les vilaines émotion emplissent brusquement mon cœur. Quel FILS DE PUTE ! Mon regard s’assombrit de fureur. Ma respiration s’accélère et devient plus forte et plus intense. Je tente de garder mon calme face à ma sœur mais putain ça devient de plus en plus compliqué ! COMMENT DAMIAN A-T-IL PU LAISSER UNE CHOSE PAREILLE ARRIVER ! Il était sensé prendre soin de la famille, à défaut de n’avoir pu le faire moi-même. Damian…t’étais où putain… ? ma gorge se noue et mon estomac me tiraille. J’ai envie de gerber. Je prends une profonde inspiration pour faire passer ce mal-être. J’observe ma sœur sans un mot puis je la prends dans mes bras et la serre très fort contre moi.

T’en fais pas. Je vais t’aider. On va s’occuper de ce problème rapidement. On ira à l’hôpital pour planifier une intervention, dis-je sur un ton ferme et décidé. Pas question de mettre au monde en enfant issu d’un viol !  J’espère qu’il n’est pas trop tard pour avorter !

J’avais décidé de tout dire Devons. Bien sûr que peut-être, j’attends trop de lui. Mais j’avais toujours été vraiment proche de lui. Je me rappelle même m’arrêter devant sa chambre ce soir-là. Pour me rendre compte qu’il était plus la maison depuis longtemps. S’il avait été, je serais venue tout de suite le voir. Même après ce qu’il m’avait fait. Je ne voulais pas le dire autre. Je ne voulais pas parler. Je trouve déjà assez dire. La tendresse que Devon me donne me fessa bien un fou. Il avait même réussi me calme. Je ne pleurais plus. Je n'étais pas bien dans mon corps. Je voulais dormir ne plus pensais ça. Je me rappelle encore maman. Qui avaient forcé Damian a joue le rôle de Devon. Il l’avais refuse mais malgré ça il étais venue me voir sans que je lui dis ce qui passe

Devons avais toujours comme me calme. Mais la pourtant, il semblais malaise. Pourtant avant il étais capable de me réconforter. Je commence à comprendre se voulais dire Damian. Quand il avait qu’il était plus le même du tout. Je commence le voir de propres yeux. ça m’avais donc pris que je vois par moi-même. C’est alors qu’il se demande pourquoi lui ? Pourquoi je le disais pas à Damian. Je soupire regarde dans les yeux.

Parce que j’ai toujours plus de faciliter a tout te dire. Tu le sais Devons. Je pensais des heures a tout dire ce qui passe chez moi. Alors pourquoi ça changerais. .. Non-dis pas ça, il n'a pas meilleur que toi vous êtes juste pas pareil.

Je ne serais pas capable dire lequel de mes frères étais le meilleur. Mais une chose est sur ce que je dirais jamais de tel chose. C’est alors qu’il me demande si Damian ou même nos parents sont courant. Je prends une bonne respiration le regarde dans les yeux.

Non personne le sait.. Que je suis fait violé.. Je n’ai pas été capable de le dire.

Je n'avais pas réussi à leur dire. Je n'avais pas autant de facilité à leur parler que Devons. Je ne sais pas pourquoi d’ailleurs. Mais avec lui tout sorte les autres, je ne sais pas. J’avais de la misère a parle de ce genre de chose. Oui je tiens eux et je leur parle de ça, j’avais été incapable dire la moindre chose.

Tu sais le soir de mon violé quand je suis arrivé la maison. Je suis monter à l’étage et je suis reste devant ta porte de chambre pendant 5 minute avant de a réalise que tu viens plus a la maison depuis longtemps.

C’est pourtant vraie, m’avait tellement dans mes états. Que l’avaient complète oublie ce qui passe avec sa femme et son fils pendant facilement 5 minutes. Puis j’avais réalise. J’étais entré dans ma chambre. J’avais tout de suite enlevé ce que j’avais sur le dos. J’avais enfilé mon pyjama, j’étais mis a pleure.

Je venais demander à mon frère si je pouvais vivre chez lui. J’avais peur. Je ne sais pas quoi faire. Je ne serais pas sécurité temps qu’il ne serait pas derrière les barreaux. Je voyais qu’il ne semblais tout fais alaise que je reste chez lui. Je la vue de la façons qu’il m’avait parlé. Je le regarde.

Oui, je ne compte pas plus reste longtemps que ça. Merci vraiment gentil de ta part.. Tu penses que tu pourrais m’aider ton en menager chez toi.

C’est alors qu’il me dit qu’il travaille souvent de nuit. Je trouve un peu moche. Mais je devais vivre. Il me dit aussi qu’il n'était pas souvent la maison. Je comprends tout fais. Je comprends tout fais.

Parfais.. Oh, je vois.

Je ne dis rien pas plus que ça. Je le regarde dans les yeux. Je prends une bonne respiration. Je venais de lui dire l’autre Bombe. Je dois dire que je fus vraiment surpris de sa réaction. Je le regarde sans rien. Je laisse prendre la nouvelle dans la tête. C’est alors qu’il me demande si une plaisanterie. Je soupire et le regarde.

Non, c’est vraie, je suis enceinte.


C’est alors qu’il me parle qu’on va prendre un rendez-vous pour avorter. Non, je ne voulais pas faire. Même si un enfant qui me rappelle toujours ce moment. Je ne voulais pas avorter. J’étais contre l’avortement depuis toujours. Je prends une bonne respiration et le regarde. Je ne savais pas du tout comment lui dire ça.

Dev, je ne veux pas aller l’hôpital. Je crois qu’il est aussi trop tard.

Je me demande vraiment aller réagir a tout ça. Je ne sais plus quoi faire. Je sentis tout à coup que j’avais le goût de vomir. Je pris sa poubelle. Je vomis dedans des larmes coule sur mes yeux tellement que me fait mal vomir. Tout ce dont je souhaite ce que les vomissements part au courant ma grossesse.

Pourquoi ? Oui, pourquoi moi ? J'aimerais comprendre. Elle me reproche des tas de des choses. On sait tous que je n'ai pas décroché le titre du frère de l'année. Et pourtant, c'est vers moi qu'elle se tourne pour me confier ses problèmes. La dernière fois que j'ai eu maman au téléphone, j'ai cru comprendre que Damian gérait bien le rôle que j'ai déserté. Elle finit par m'expliquer, et je dois avouer que sa réponse finit par me toucher. Plus facile de discuter avec moi ? Je suis l'aîné de la famille. La plupart des frangins s'en remettaient à moi. Et, on peut dire que je savais très bien gérer ce rôle. Mais quand Lexie et Andy m'ont abandonné seul ici, j'ai perdu tous mes repères, je me suis égaré quelque part d'où je n'ai jamais su revenir entier. Sa franchise m'extirpe un petit sourire en coin. Finalement, j'ai peut-être été un peu trop dur avec elle aujourd'hui...

Quand je repense à son aveu, ça me donne carrément la gerbe. Il ne sait absolument pas ce qui l'attend cet enculé. Je le descendrai de mes propres mains. J'essaie de voir avec Evelyne si elle en a déjà parlé à quelqu'un d'autre. Evidemment que non. J'aurais dû m'en douter. Elle l'a caché pendant tout ce temps aux parents et à Damian. Je prends une profonde inspiration, posant ma main sur son épaule: Donc, si je comprends bien je suis le seul au courant de cette histoire ?

La colère finit par me gagner lorsque je repense à ce qu'elle a subi. Je serre les dents, la mâchoire, essayant de ne pas trahir ce sentiment qui m'anime en ce moment même. Evelyne brise le silence à nouveau:
Tu sais, ce soir là, quand je suis rentrée la maison. Je suis directement montée à l’étage et je suis restée planté là devant la porte de ta chambre pendant 5 minutes au moins avant de a réaliser que tu ne vivais plus a la maison depuis longtemps.

Ma gorge se noue à ses paroles. Putain...après tout ce temps à les fuir comme la peste, elle m'attend toujours. Mon coeur palpite, mais de douleur cette fois, cette culpabilité soudaine d'avoir joué les Casper. A cause de ça, à cause de moi, elle a traversé l'enfer.

Evy... Je m'approche d'elle et l'enlace, rapprochant son visage de mon torse et passant ma main dans sa longue chevelure ébène. Voilà bien longtemps que nous n'avions pas échangé une telle étreinte. C'est comme si nous étions revenus trois ans auparavant. Mes pensées se tournent alors vers Damian. Boule au ventre, estomac qui tiraille, gorge nouée, coeur brisé, je suis brusquement hanté par tous ces souvenirs de mon petit frère que je chérissais tant. De nos moments de complicité, nos fous rires, nos coups de gueules, nos étreintes, nos conneries, nos moments rien qu'à nous... Deux ans que j'ai claqué la porte, que j'ai enfouis tout cet amour inconditionné envers celui qui représente ma vie. Qu'il me manque...

Evy me demande si elle peut loger chez moi, et me fait très vite redescendre sur terre.  Je retrouve mon humeur maussade et mon air aigri. Je ne pense pas que ce soit une excellente idée. Mais vu les circonstances, je ne peux pas la laisser seule, surtout avec l'autre fils de pute qui toujours en cavale. Il va falloir que je m'occuper sérieusement de son cas ! Je finis par accepter sa requête mais de façon temporaire. C'est cruel, je sais. Je ne suis juste pas prêt pour l'instant. Et elle le ressent, car je reste tout de même un peu froid envers elle. Elle semble quelque peu déçue  quand je lui avoue passer beaucoup de temps au poste. Mais pour une fois, je ne mens pas. Bon...okay. C'est moi qui ai refusé de rester à la maison. Avec les fantômes de Lexi et d'Andy qui planent au-dessus de ma tête dans cette maison et les nuits mouvementées à ressasser toujours le même cauchemar, je préfère fuir l'endroit qui me rappelle sans cesse l'enfer dans lequel je vis désormais. Je la regarde avec sympathie puis pose ma main sur son bras.

Hey...je ne te mens pas. Nous avons beaucoup d'affaires ces dernières semaines, notamment des affaires de drogue qui n'en finissent pas. Sans compter, les cas débiles qu'on doit se coltiner... Je réalise soudain la situation. Ma soeur vient de subir un traumatisme et moi, je lui balance de but en blanc que je ne serai jamais là. Je réfléchis un instant, faisant bouger mes lèvres léger mouvement sur le côté.
Je vais essayer d'être un peu plus présent à la maison. Du moins, dès que je le pourrai. lui assurai-je. Je peux quand même essayer de faire l'effort...

Moi qui croyais que notre discussion s'achevait là, vous ne devinez jamais le pot aux roses: Evelyne est enceinte de son violeur. On veut m'achever ou quoi ? Putain de bordel de merde, quel sale fils de pute ! Je vais lui couper les couilles et lui faire bouffer jusqu'à ce qu'il s'étouffe avec et que ses poils lui ressortent pas les trous de nez ! Evelyne ne peut pas élever un enfant. Elle est encore étudiante. Et surtout, mettre au monde un marmot donc la gueule va sans cesse de rappeler la face de cul qui vous a mise en cloque ? Non non non !

Elle doit se débarrasser de ce problème très rapidement. Je lui assure mon soutient et lui propose d'agir rapidement. Mais ce qu'elle me dit ensuite me fait tomber dénue. Me troue le cul comme on dit si bien ! Elle ne VEUX pas et ne PEUX pas. Je l'observe les yeux écarquillés comme deux billes.

Comment ça tu ne veux pas ? Tu te vois mettre au monde un gamin qui te rappellera sans cesse le cauchemar que tu as traversé ? Je recule de quelques pas puis croise les bras, l'observant d'un air grave. Je tâtonne mon menton de la main à plusieurs reprises.

Evy. Tu es enceinte de combien de mois au juste ? J'ai peur de sa réponse...

Mon frère me demande pourquoi lui. Je le regarde dans les yeux. Je ne sais pas pourquoi. Mais j’ai toujours eu de la facilité a parles même. S’il avais joue un casper dans ma vie. Donc je ne sais pas. Je ne me sens pas bien membre de ma famille. Pour vrai, je ne sais pas pourquoi. Mais c’était toujours ainsi avec mon frère depuis que j’avais 4 ans. Enfin bref, c’était toujours ainsi. Je prends une bonne respiration et le regarde dans les yeux. C’est normal, il est mon grand frère et c’est normal que me sentais plus alaise avec lui. Mais vous allez dire que j’ai Damian aussi. Mais ce n’est pas facile.

Il me dit alors qui est courant. Bien, je dois avais son ami de la police. Mais je ne pense que ça sois une bonne idée. Qu’il soit au courant. Mais surtout qu’il l’avait su avant lui. Je ne pense pas qu’il a aimé ça. Mais je lui dis toute simple parce que je voulais faire une plainte. Sinon je crois que l’aurais rien dis. Si je n’étais pas capable de le dire depuis 4 mois au membre de ma famille. Donc je pris la décision dans ma tête que je n'avais pas lui dire. Bien sure, il avait ma meilleure Livia son ex belle sœur. Donc je ne pouvais pas vraiment pas lui dire.

Bien il y a ton ex belle sœur qui est ma meilleure amie Livia.

Je me rappelle encore de cette nuit que je lui avais. J’aurais temps aimé pouvoir entrer dans sa chambre. Je crois que je suis resté dans ses bras toute la nuit. Je crois que j’ai réussi m’endormir et lui dire ce qui passe Je venais de lui dire ce que j’avais durant cette nuit-là. Bien sure Maman avaient monté Damian. Mais je n’avais pas été capable de lui dire cette nuit. J’aurais eu besoin de mon frère Dev. Mais il était la donc. J’avais à réussir m’endormir blotti contre lui.

Dev..

Je le senti contre moi. Me fait du bien. Il me rappelle quand il ferait quand j’étais triste avant cette tragédie dans notre vie. Je trouvais un peu mon frère. Je reste blottit contre lui. Je suis si bien. Je le serre contre moi. Je crois que je serais reste ainsi contre lui aussi longtemps. Je le serre fort contre moi. Je plonge dans mes souvenirs. Je me rappelle quand on était la maison. Et que je me rappelle quand j’avais 4 ans que je me ferais mal. Devon me serre de la même façons bref il avais toujours fais. Donc il fait maintenant me ferais vraiment du bien.

J’avais demande mon frère de vivre chez lui. Je devais me reposer. Je sais que chez lui. Je me sentirais en bien. Mais surtout en sécurité, mais je sais que mon frère.je Ne voulais pas vraiment avoir sa petite sœur dans les pattes qui le voudrais quand tu est partie de la maison depuis longtemps. Devon me dit qu’il avait plein de choses au travail. Je dois dire que je comprends de prendre plus de temps au travail Même moi dans sa condition ne voudrais pas être la maison. Cet endroit qui lui rappelle sa famille.

Je comprends, tu as travail, c’est normal.

Quand tout à coup, il change d’idée. Il comprend que j’ai besoin de lui. Je ne voulais pas lui dire. Je vouais qu’il comprend par lui-même et il avait fait.. Je souris à sa réponse et le regarde dans les yeux.

Merci .. De prend le temps de passe un peu de temps avec moi… Sa présence me fait du bien… Mais surtout quand je suis dans tes bras. C’est con à dire, mais rien ne peux m’arriver, et je me sens bien

Je n’arrive pas à croire que j’ai dit mon frère. C’était la réalité des choses. Je ne savais pas ce que je voulais vraiment. Je pense que je voulais vraiment cet enfant qui me rappelle l’homme qui est ma fais. Mais maintenant je tue être qui n'as pas demande de vivre ça. Je ne sais pas ce que. Vraiment, je suis complète perdu.. Je veux juste vivre.. Je ne sais plus que je veux. Le garde où le tuer.. et moi comment je vais arrive a tout. Est-ce que je serais capable de le faire avec un homme ou même aimer un homme. Je fais violer ma virginité est partie avec homme. Dont je ne voulais pas. Je regarde frère et je prends une bonne respiration.

Non, je ne veux pas ça… Mais peut-être que c’est seul enfant que je vais pouvoir avoir..Qui que je serais capable de le faire avec un homme… Ou même laisse autre me touche.. Devons je sais plus… aide moi.

Je le regarde dans les yeux. J’ai trouvé mes larmes. Je ne pense pas vraiment ce que peux faire. Je vois rien ce moment. Je ne sais pas ce que veux. Le garde où l’enlève ? Pourquoi, c’est un dilemme en ce moment. Je prends une bonne respiration et garde mon ventre. Mon frère me demande, je suis enceinte de combien de temps. Je le regarde.

3 mois bientôt 4 mois..

Je n’avais même pas la chance d’attendre la réponse de mon frère. Je partis en courant dans les toilette des filles du poste. J’ouvris la porte de la toilette. Puis je m’assois et je mets à vomir. Je pleure tellement ça me fais. Je prends une bonne respiration et je me remets à vomir. Je veux Devons. Je ne peux quitter cet endroit. Je prends mon cell.. Fais la demande vocal a siri. Texte Devons : viens j’ai besoin de toi ça me fais mal. Puis je me remet, a, pleure et vomir encore. Tout ce que je souhaite que mon frère vienne.

Avant toute chose, j’aimerais m’assurer qu’elle n’ait pas eu à endurer ce fardeau toute seule. Je lui demande qui de son entourage est au courant. Franchement, ça me ferait chier qu’elle l’ait gardé pour elle, surtout que je n’étais pas là ! Mon cœur se serre en pensant à ce qu’elle dû subir. Mais putain...Il faut que je sache. Je veux savoir. Qui. Quand. Où. Comment. Le buter. Oui. Je vais le buter. J’en fais une affaire personnelle.

Apparemment, elle se serait confiée à Liv. Mais, je n’en suis pas soulagé pour autant. Il l’a fait. Il a osé, poser ses mains sur elle, souiller son intimité, son innocence…Je me mords la lèvre inférieure, les narines bombés, je rumine. Ma respiration s’intensifie peu à peu. Je la sens, cette rage profonde qui émane de mes entrailles, brûlante, violente, destructrice, prête à exploser sur le premier pèlerin qui se trouve sur mon chemin. Pourvue que personne ne me pète les couilles ce soir ! Je suis une bombe à retardement. Tic tac tic tac tic tac. L’heure de la vengeance à sonné. Profite des derniers instants qu’il te reste fils de pute, car je vais t’attraper, t’émasculer avant de t’égorger comme un porc et te laisser crever comme la merde que tu es, dans une benne à ordures car c’est là qu’est ta place. Je soupire, démuni face à ma petite sœur brisée. Partagé entre cette haine incommensurable et ma culpabilité, j’ai l’impression de merder en permanence. Mon corps tout entier se flagelle.

Evy…dis-je fébrile, inutile, puis l’enlace et la serre tout contre moi. Je me déleste un instant de ce fardeau et m’enivre de notre étreinte : l’odeur de son shampoing, son parfum, sa tendresse qui me ramènent à l’époque où nous jouions encore le rôle de la famille parfaite. Nous l’étions.

Quelques instants plus tard, Evelyne me demande si elle peut loger chez moi. D’abord, réticent à l’idée de vivre à nouveau au quotidien avec ma sœur, je finis par accepter de l’héberger temporairement. Je me cherche alors même mille et une excuses pour justifier ma probable absence à la maison. Mais je réalise que ma réaction est cruelle et pathétique. Alors, je me ravise et lui assure de faire mon possible pour être un peu plus présent. Après tout, elle est enceinte, et je ne peux pas la laisser se débrouiller toute seule. Je n’ai pas été élevé de la sorte. J’ai tout de même des principes. Evelyne, malgré cette pointe de déception qui anime son visage semble néanmoins ravie et compréhensive :

Merci .. de passer un peu de temps avec moi… Ta présence me fait du bien… Mais surtout quand je suis dans tes bras. C’est con à dire, mais avec toi, je me sens bien, je sais que rien ne peux m’arriver

Et merde…Elle est la bonté et la gentillesse incarnée. Elle m'aime, me témoigne son amour et moi... Je suis vraiment le roi des cons. Une pointe de culpabilité me gagne. Je dois lâcher un peu de lest. Tout ce qu’elle demande, c’est le soutient de son grand frère.
Trois mois…bientôt quatre a-t-elle dit ? Je blêmis. A l’évidence, il est trop tard pour avorter. Mais bordel de merde ! Comment imaginer mettre au monde un gosse qui te rappellera sans cesse ce que t’as subi ? Et s’il avait ses traits ? Oh putain…je crois que je vais faire une attaque. Je passe une main sur mon front et la fais glisser dans mes cheveux., l’autre reste accrochée à ma taille. Je souffle, songeur, dépité, démuni. Je m’engage et l’interroge. J’ai besoin de savoir ce qu’elle veut et ce qu'elle envisage de faire.

Non, je ne veux pas ça… Et c'est probablement le seul enfant que j'aurais..Je ne me vois pas en avoir un autre avec qui que ce soit… Je ne laisserai aucun autre homme me toucher.. Devons je ne sais plus… aide-moi.

Je l’écoute, entends et comprends. Je la dévisage en silence. Elle est perdue, amère et dégoûtée de la gente masculine. Je serre la mâchoire, mords ma joue intérieure, car je ne peux m’empêcher de penser à ce connard. Brusquement, elle se précipite en trombe en dehors de mon bureau. Les yeux écarquillés, je reste planté là tout seul comme un con et ne comprends pas ce qui lui prend. Je fronce les sourcils et m’apprête à sortir quand mon téléphone vibre. J’avance d’un pas, deux pas, j’hésite, me mords la lèvre inférieure, le regard rivé hors du bureau. Le téléphone vibre à nouveau. D’un geste décidé de la tête, je me ravise et prends mon téléphone. C’est un message vocal d’Evy ! Je ne comprends pas tout ce qu’elle essaie de me dire mais je crois deviner qu’elle est en train de vomir. Je ferme les yeux et soupire. J’imagine que ce sont les aléas de la grossesse. Lexie est aussi passé par là…

Je sors de mon bureau et rejoins ma petite sœur dans les toilettes des femmes, ce qui me voue les foudres de quelques collègues coincées. Rooo pimbêches ! Evelyne se tient là, au-dessus de la cuvette, pleurant entre deux vomis. Regarde ce qu’il a fait…Il l’a détruite. Sa vie va changer, avec cet être innocent, issue pourtant d’un crime, qui grandit en elle. Elle souffre et ça…ça me tue. Je sais pertinemment ce que me dirait Lexie…oh oui…
Je ne peux pas…c’est au-dessus de mes forces. Je ne peux pas la laisser traverser ça toute seule…Jusque-là, j’ai déserté mon rôle de frère. Il est peut-être temps que je me remette en selle. Elle a besoin de moi. Malgré nos embûches, malgré ces deux années de silence, elle a choisi de se tourner vers moi. Il est de mon devoir de prendre soin d’elle. Au diable ses reproches, l’heure est bien plus grave. Je passe ma langue sur mes lèvres, prends une profonde inspiration, les clos yeux, puis expire. Sans hésitation, je m’avance d’un pas décidé jusqu’à elle et me penche en avant. Une main posée sur sa joue, la seconde rabattant ses cheveux, je maintiens doucement sa tête pour l’aider à vomir.
Lorsque les nausées sont passées, je l’aide à se relever. Elle semble épuisée. J’attrape un mouchoir en papier et le lui tends. Je la fixe droit dans les yeux et lui souris avec la tendresse d’autrefois. Je fais glisser une main sur sa joue toute chaude et l’agrémente d’une caresse.

Tu te sens mieux ? C’est un sale moment à passer.

Je rapproche son visage du mien et l’embrasse sur le front, prolongeant cette étreinte. Au bout d’un moment, je recule mon visage et prends un air sérieux.

Evy…excuse-moi pour tout à l’heure. J’ai réagi comme un gros con. Le silence s’installe, elle me regarde sans un mot.

Ecoute…tu peux rester aussi longtemps que tu veux à la maison. Prends tout le temps dont t’as besoin. Je serai là. Je demanderai à échanger mes services de nuit et je bosserai en journée. J’ai déjà connu ça avec la grossesse de Lexie. Donc, si tu veux garder le bébé, je t’aiderai. T’as pas à t’en faire pour l’argent, je vais gérer ça.
Je marque une pause et prends sa main entre les miennes.

Je t’accompagnerai pour tes examens. D’ailleurs, ça serait bien que t’ailles faire un dépistage complet, le plus tôt possible. Dès demain. en espérant que cet enfoiré ne lui ai rien transmis d’autre. Un bébé c’est déjà amplement suffisant !

Tu m’entends ? Je serai là. Ça va aller. Je vais gérer tout ça. Je te le promets.

Je lui souris avec assurance, rassurant et réconfortant. A nouveau je l’enlace, pour lui montrer que cette fois, je ne m’enfuirai pas. Non, je ne m’enfuirai plus. Je vais prendre mes responsabilités, et je m’y engage solennellement.  Je me délie et la dévisage d’un air très sérieux.

Par contre, je ne veux pas me faire l’avocat du diable, mais il va falloir que tu en parles à papa et maman et…à Damian aussi. Tu ne peux pas leur cacher éternellement.

Je sais que j’aurais le dire. Mais je ne voulais pas. Je me sentais bien avec mon corps. Alors que je pourrais parler de ce que je ressens. Au début, je me sentais même sale. Même encore aujourd'hui, je prends 2 douches par jour. Car je me trouve propre. J’avais le garde pour que je ne voulusse pas les jugements de mes proches. Bien sûr Livia m’avait tout de suite compris. Mais c’était la seule avec qui j’étais capable d’en parler. Je me rappelle encore le texte tous les jours Devons. En lui disant.. On doit se parler.. Je ne me sens pas bien.. Même lui avoir écrit 911 rappelle moi. Mais il m’a jamais rappelé. Donc je reste avec sa toute seule. Bien sure, j’écris un journal de bord ma grossesse chaque étape et quelqu’un point mon corps change de plus en plus.

Me confie a liv m’avais fais du bien. Mais pas autant qu'aujourd'hui, je ne sais pas pourquoi, mais je sentais une pression qui me venais disparaître de mes épaules. Lui dire m’avait fais du bien. J’aurais temps aimé lui dire avant. Il ne me répond pas donc j’avais lâche prise. Car moi, j’avais essaie de rentre contact avec lui plusieurs, mais rien faire. Il me répond pas donc j’avais lâche prise. J’avais continué ma vie m’isoler.. Et même mettre de la musique vraiment forte lorsque j’avais des nausée pour pas que les autres m’attend avec des problèmes gastriques. Je savais très bien comme il pense. Il était long d’être calme en ce moment. Je prends une bonne respiration le regarde redire mon surnom. Je le regarde sans rien dire.. puis je redis son surnom


Dev, dis-je d’une voix tremblante. Le sentir ainsi contre moi, je fessai bien le fou. Je pouvais ressentir cette odeur. Son doux parfum. Je pars dans mes souvenirs tout à coup. À l’époque ou j’avais le moindre problème et je monte le voir dans sa chambre. Je lui saute dessus et je pouvais rester des heures et me confie a lui et écoute ses conseils qui me fessèrent le temps du bien.

Je sais très bien qu’il ne voulait pas que je sois chez eux. Je l’avais tout de suite vue. Je ne suis pas conne. Qui veulent sa petite sœur chez lui pour casser les pieds quand tu as quitte la maison. Je le regarde dans les yeux. Moi, je voulais son réconfort. Mais bon, je pouvais le force s’il ne voulait pas le monde. Je prends tout fais..

Je venais lui dire que j’étais enceinte de bientôt 4 mois. Mais cette maudite envie de problème gastrique revient. Je pars donc vers les toilettes des femmes. Comme je vois qu’il ne me suit pas je le texte. Je ne sais pas s’il comprend quelque chose de ce que je lui dis. Car je reflue gastrique intense même temps de lui parler. Je le vois enfin arriver. Je prends bonne respiration et je pleure tellement que j’ai mal. Quand tout à coup, je sentais la main Devons sur ma joue. Je le sens remonter mes cheveux. Il aide me le tien la tête. Je continue pendant le moment. Contente de le savoir proche de moi, il joue un peu rôle qu’il avait toujours avec moi.

Lorsque maudit problème de maudis et fini. Il m’aide me révèle. Je me sens vraiment faible. Je n’ai plus de force. Il me donne papier de toilette. Je m’essuie la bouche. C’est alors que je trouve sa souris de jadis. Je rêve ou Devons est redevenue comme par magique mon grand frère d’amour. Ça me carrasse me rassure. Enfin bien de le savoir là de l’avoir trouvé.. Je sors de ma petite bulle de bonheur et je lui réponds.

Oui et non… J’ai plus de force… Je me sens faible..


Je laisse faire quand il approche de moi me donne un bisou sur le front. Cette douceur me fait temps de bien. Ce petit geste me fait du bien. Je prends une bonne respiration. Je le regarde et souris. Lorsqu’il me dit qu’il agit comme un con. Je le regarde sans rien dire. Pour moi, je ne serai jamais un con. Il était juste sous le choc, c’est normal.


C’est alors qu’il change complètement de discours. Il me dit que je peux rester aussi longtemps que je le veux chez lui. Qu’il va se faire changer de nuit à jour. Qu’il sera là. Je prends une bonne respiration. Je suis content mais même temps. Je ne veux pas être un fardeau pour lui. Ce n’est pas son enfant après tout.

Merci, tu es un ange. Dev .. je.. je ne veux pas que tu paye tout… J’ai de l’argent des parents aussi.. Mais merci..

Je ne sais pas trop te dire sauf merci.Je le regarde dans les yeux. Je laisse prend mes mains. Je me sens un peu étourdie après j’ai tout rejette ce que j’avais mangé aujourd'hui. Donc c’est normal que je me sens pas bien sens pour 100. C’est alors me dis que je devrais le test complet. Je soupire.. Mais il a raison.


Oui, tu as raison pour le test… Je pense avoir rien.. Mais il faut être sure… Tu n'es pas obligé de venir au chaque rendez-vous.. mais tu veux venir ça me ferais plaisir que tu sois la.


C’est alors me dis qu’il sera là. Je m’accote le mur de la toilette. Je sens vraiment étourdie. J’ai chaud et j’ai encore mal cœur.


Oui merci d’être là.. Je pense prend un rendez-vous avec un médecin.. Le médecin étais charge de lexie.


Je sais que je devrais parler de sa femme. Mais il as parlé depuis tout taleur. Donc je prends pour compte que ça dois correct. Mais je n’ai pas comment il va réagir face a ça. Je prends une bonne respiration. Je laisse me colle. Je reste dans ses bras. J’ai compris qu’il ne partirait pas cette fois. J’étais contente de savoir qu’il serait là avec moi, c’est alors qu’il me dit que je devais lui dire mes parents et Damian. Je soupire. Je ne sais pas trop. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne me sens pas alaise de leurs au parent.

Je compte lui dire Damian. Mais au parent, je suis, peux, essaie.

Je ne me sens pas bien du tout. J’ai peur de leur réaction. J’ai peur. Je ferme les yeux homme.

Elle est penchée au-dessus des toilettes et vomit le contenu de son estomac. Je me souviens, c’était peut-être la seule partie de la grossesse qui Lexie avait eu en horreur. Et comme je compatis. Quand je dégueule mes tripes à cause d’une bonne cuite, autant vous dire que je suis au bout de ma vie. Je ne peux que comprendre le calvaire qu’elle traverse. Je la laisse se libérer de ses nausées et lui tends un petit mouchoir qu’elle se saisit pour s’essayer la bouche. Je lui assure que tout ça n’est qu’un mauvais moment à passer, ignoble même, mais je préfère rester évasif sur les détails.

Elle semble épuisée, vidée, démunie. Oui…je sais Evy, je sais. Mais t’as pas le choix, surtout si tu veux garder l’enfant. Je m’approche d’elle et lui dépose un bisou sur le front.

C’est normal. Ça ira, ça passera, j’te promets.

Finalement, je me dis que j’ai été un vrai connard avec elle…en même temps, ce n’est pas en déboulant ici et m’inonder de reproches au je vais jubiler comme une danseuse étoile. J’ai un cœur moi aussi, et une fierté masculine mal placée, je le conçois. Ils ne se rendent pas compte à quel point ils ont tous été blessants, étouffants, oppressants. Alors que je perdais les pédales et sombrais, pas un n’a pensé à me tenir la tête hors de l’eau. Non. Au lieu de ça, ils me la gardaient bien au fond, comme un poids m’empêchant de remonter à la surface, m’empêchant de respirer, me faisant suffoquer. Je me noyais, littéralement. Et pas un seul ne m’a tendu la main…pas même Damian…mon tendre petit Damian…

J’ai la rage contre eux, c’est vrai. Mais comme je l’ai dit. J’ai un cœur. Je décide de mettre de côté toute ma colère, ma rancœur et mes cicatrices et m’excuse auprès d’Evelyne de m’être emporté un peu plus tôt. Compte tenu de ce qu’elle a traversé, je dois admettre que je n’ai pas été très tendre avec elle. Je sais d’ailleurs très bien ce que Lexie dirait, elle qui mettait un point d’honneur sur l’importance de la famille. Elle serait d’ailleurs très en colère contre moi si elle voyait la manière dont je suis parti et dont je traite les miens. Je soupire à cette pensée. Lexie, ma bien aimée Lexie, je te promets de faire au mieux, du moins essayer.

Je décide de soutenir ma sœur, pour le meilleur et pour le pire. Je tente de la rassurer, de l’épauler en lui garantissant ma présence pour cette épreuve. J’ai beaucoup épaulé et accompagné ma femme durant sa grossesse, je suis tout à fait capable de le faire avec ma sœur. Disons que j’ai acquis une certaine maturité, une certaine expérience. J’endosse l’entière responsabilité, et je lui promets de tout prendre en charge, l’accompagner à chacun de ses examens médicaux, car c’est ce qu'est supposée faire une famille non ? Se serrer les coudes. D’ailleurs, ça devient urgent qu’elle fasse un test de dépistage pour les éventuelles maladies que cet enfoiré aurait été susceptible de lui transmettre. Je me permets donc de jouer cartes sur table avec elle.

Merci, tu es un ange. Dev .. je.. je ne veux pas que tu paies tout… J’ai de l’argent des parents aussi.. Mais merci. Oui, tu as raison pour le test… Je ne pense pas avoir grand chose. Mais il faut être sure… Tu n'es pas obligé de venir au chaque rendez-vous.. Mais tu veux venir ça me ferais plaisir que tu sois là. Oui merci d’être là. Je pense prend un rendez-vous avec un médecin. Le médecin étais charge de lexie.

Elle est têtue ! Elle me ressemble tiens ! Je m’avance et pose mon index sur ses lèvres pour la faire taire.

Hey hey ! Chut ! Tais-toi. Je t’ai dit que j’allais gérer. Arrête de faire ta tête de mule et laisse-moi faire.  J’te signale que tes parents sont les miens aussi et à ce que je sache, ils ne sont toujours pas au courant. Il va falloir que je trouve un moyen d’aborder ça avec eux sans que maman nous fasse une attaque.

Elle m’assure qu’elle en parlera à Damian. Mon cœur se serre lorsqu’elle prononce son prénom. Ça fait si longtemps que je ne l’ai pas vu. Il…il…oh putain…il me manque terriblement. J’aimerais tant le revoir, mais notre dernière rencontre me laisse comme un goût amer, et je m’ôte très rapidement cette idée de la tête. Il est si important pour moi, peut-être bien plus que ce que je représente à ses yeux et dans son cœur. Je me dis que, c’est peut-être pour ça que je me meurs à petit feu depuis plus d’un an et demi, que malgré mes efforts pour continuer, je m’enfonce dans ce perpétuel gouffre infernal, sans jamais toucher le fond. Il est juste cette moitié sans laquelle je ne peux exister. Désormais, il est trop tard pour revenir en arrière, je suis probablement mort à ses yeux. Je passe mon bras autour de l’épaule d’Evelyne, saisissant ma veste en cuir et mes clefs de voiture.

Allez viens, je prends ma soirée, j’te ramène à la maison.
Et, c’est ce que j’ai fait.

J’avais appris à Devon que j’étais enceinte et que je me suis fait violer. Je dois qu’il avait pris bien. Par la suite, je suis partie en courant à la toilette. J’avais sorti tout ce que j’avais dans mon corps. Devon était ma donne un mouchoir pour que je m’essuie. Ce que je fais. Je me sentais vraiment faible. Je me sentais bien du tout. Je voulais juste bien dormir. Même si je sais que je ne peux pas. Car à chaque fois que je ferme les yeux, je le vois. Mon violeur et ce qu’il m'a fait. Je sors de ma tête.

Devon me dit que tout va bien aller. Pour vrai, je ne suis pas sûr du tout. J’ai peur. Je ne me sens juste pas très bien, mais je sais que fais partie de la vie. Même que je vais devoir devenir plus indépendante de Devon. Car je sais qu’il ne sera pas toujours pour moi. Il me promet même qu’il sera là. Je dois dire que me rassure.

Merci Dev


Je ne sais pas pourquoi il avait changé de comportement avec moi. Peut-être qu’il sentait mal de ne pas avoir été là pour au bon moment. Mes frères proches que je suis trop de Devon et que je ne suis pas capable de le dire les choses. Bien, j’avais toujours été plus facile avec Devon ou Livia ou encore Lexi. Je crois que j’aurais appelle Lexi pour lui demander conseil. J’aime beaucoup ses conseils jadis. Bref je suis contente de savoir que mon frère est là pour moi.


Je parle beaucoup Dev met le doigt sur la bouche. Je souris, l’écoute sans rien rajoute de plus. Ce qu’il me dis me ferais vraiment bien. Je pense que depuis la mort de Lexi. Je me suis jamais aussi senti bien. Savoir qu’il sera me ferais chaud au cœur. C’est comment-ci je trouve mon frère mon grand-frère.

C’est alors que Devon met son bras autour de mon épaule. Il fait bien, car je suis vraiment trop faible pour marche seule. J’ai plus d’énergie. J’ai besoin de repos. C’est alors qu’il me dis qu’on entre à la maison. Qu’il prend sa soirée de congé. Je souris et le regarde dans les yeux. Je dois dire que j’étais vraiment contente qu’il prend sa soirée pour moi. Pour rattraper le temps perdu, je l’aime temps Devons.

Oui, merci allons-y

Je marche accote contre Devons. Il m’aide marche jusqu’as sa voiture. Puis je m’installe dans sa voiture. Je part vers chez lui.