The dove and the raven

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Sometimes it only takes a glimmer to change something

Les premiers rayons du soleil s'élèvent dans la pièce principale où la majorité des choses se trouvent. Réchauffant mes paupières, je détourne la tête afin de pouvoir ouvrir les yeux sans m'aveugler. Lorsque je bouge légèrement, une présence contre moi m'arrête. Je baisse les yeux et je vois une chevelure aussi blonde que le blé, une silhouette de guêpe endormie contre moi. Les souvenirs de la veille me reviennent et un petit sourire s'afficha sur mes lèvres. Je remonte la couverture contre ses épaules afin d'éviter qu'elle attrape froid ainsi qu'un baiser au-dessus de sa tête. Ce fut l'une des rares belles soirées que j'ai passé depuis longtemps. Je respire doucement en levant les yeux au plafond. La plénitude règne. Mon coeur bat doucement et je me sens bien, comme si tout mes problèmes avaient disparus momentannément.

Je reste ainsi une bonne heure avant qu'il ne soit temps de se lever. Je ne pourrais pas dire la dernière fois - également - que je me suis endormi pendant la nuit et que j'ai ouvert les yeux lors des premiers rayons. Les reflets du soleil ont pénétrés la chevelure de la jeune femme, lui donnant presque un air féerique. J'ai entouré son corps d'un de mes bras avant qu'il ne soit temps de la réveiller. Même si je voulais qu'elle dort encore paisiblement, l'heure tourne et je crains qu'elle ne travaille et qu'elle arrive en retard. Si elle ne travaillait pas, elle allait pouvoir se rendormir, mais sinon... Je réveille calmement la jeune femme. "- Il faut te réveiller... je ne sais pas si tu es en retard ou non pour aller travailler.." Je vois sa tête se redresser et elle regarda l'heure. Comme de raison, elle se bouscula un peu afin de pouvoir s'habiller. Malheureusement, je n'avais rien ici pour qu'elle puisse déjeuner, alors je savais qu'elle devait quitter un peu plus tôt afin d'aller chercher quelque chose à manger. Je dépose un doux baiser sur son front lorsqu'elle part, lui disant de faire attention.

Lorsqu'Arielle fut partie de mon appartement, je me suis levé afin d'aller prendre une douche et m'habiller. Aujourd'hui, c'est également une journée de boulot pour moi. J'ai tout apporté et j'ai pris le métro jusqu'au centre-ville où je me suis assis à mon bureau avec tous les autres afin de faire la conception d'un des jeux vidéos prochainement. Une journée ennuyante à mourir. Lorsqu'elle se termina, ce fut presque comme une délivrance et je me suis rapidement éloigné de tout le monde avant de partir Le nuage noir constant au-dessus de la tête était devenu plus grand. Je n'avais pas pris mes médicaments aujourd'hui. De nombreuses voix avaient commencés à me crier dans les oreilles, mais c'est surtout la présence de Willa qui m'affecte. Lorsque je commence à aller mal, elle apparaît. Elle est toujours porteuse de malheur dans sa mort, mais pas de son vivant.

Nous parlons en chemin. J'étais réellement entrain de faire une crise. Je prenais souvent ma tête entre mes mains. Je n'ai pas pris le chemin de mon appartement. Je vais rendre visite à Arielle directement chez elle, après notre petite conversation par texto durant la journée même. Le voyage fut assez long avec toutes ces idées et paroles inventées en tête. J'ai couru afin de me libérer du métro et j'ai eu peine à trouver son adresse. Une fois trouvée, je cogne avec beaucoup de force contre sa porte. J'ai finis par déposer un genou à terre, la tête entre les mains en train de souffrir. Pas seulement de douleur psychologique, mais également physique puisque c'est état arrivait à affecter mon coeur, mon estomac et mes muscles... J'espère qu'elle est là!

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Je suis la pour toi c'est que les amis font non être la l'un pour l'autre

Je sentais les rayons de soleil contre mon visage. Mais je restai couche encore un peu. J’étais si bien blotti contre lui que je ne voulais pas bouger. Ça fais longtemps que n’avais aussi bien dormir. Je dois que sentir une présence contre moi me fessait du bien. Je ne sais pas pourquoi, mais la chaleur de son corps me fessai du bien. Je sentis quand il mit la couverture sur mes épaules. Je me sentais bien dans ses bras. Je serais reste ainsi toute la journée. Je dormais point ferme. On s’était couche-tard. J’avais oublié de mettre mes 3 alarmes pour me réveiller. Lorsqu’il me dit que je devais me lever. J’ouvris les yeux et partie en courant habille. Je lui dis un simple. Merci... On pourrais un jour . ce replace ainsi moi dans tes bras. J'étais trop bien. Enfin si tu veuxPuis je continue de me prépare . Je pris mon sac. C’est alors que je réalise que c’était ma journée où je reste la maison à travailler sur mes dossiers. Même si c’était ce genre de journée, j’avais beaucoup à faire donc je vais quand même partir. Je lui souris et lui donna bisous sur la joue et lui fit un câlin avant de lui quelque mots. Je ne pouvais pas partir comme une voleuse surtout après ce qui passer entre nous hier soir.C’étais génial ça fais du bien Merci encore.Puis je quitte son appartement vers chez moi. Le retour fut vraiment long, j’en profite pour répondre mes textes et mes courriels. Au bout d’une bonne heure, j’arrive chez moi. Ma petite sœur m’avait laisse un mot ‘’ je suis partie chez une amie, je t’aime.’’ Je souris et mis le mot sur le frigo. Je partis en courant dans la douche. J’entre dans ma toilette et mis tout mon ligne dans lave. Je pris une bonne douche et me change quelque chose de simple comme je fessai des dossiers à la maison. Je profite pour les faire dehors me faire bronzer un peu. J’enfile maillot sans bretteler pour le haut et bas assorti. Une petite robe blanche pas chaud juste assez pour couvrir mon corps. Puis je me fis bon déjeuner et je commence mes dossiers. C’est fou comment j’en avais à faire. Plus la journée passer plus j’avais des message texte d’Isaiah. Il ne semble vraiment pas se sentir. J’essaie de l’aide du mieux que je peux, mais parfois par message texte n’est pas facile. Je lui réponds tout en continue mes dossiers et c’est fou comme se travaille étais long parfois. Car j’entre toute la main mes notes. Car sinon mes patients leurs dossiers serais vraiment long. J’étais dans mes dossiers quand tout à coup, j’entendis congé vraiment forte à ma porte. Je pris mon ordinateur l’entrée et ainsi mes choses que je mis sur le comptoir de la cuisine et je courus répondre. J’ouvris la porte et le vis à genoux devant la porte. Je m’assis proche de lui et lui dit doucement :Yé.. Je suis la, tu viens entrer chez moi pour parler.Je voyais bien qu’il était en crise. Donc je voulais juste le faire entrer pour être plus alaise de parler avec lui. Je savais un peu ce qui passer suite au message de la journée. Mais le voir ainsi me fessai mal, je n’aime pas le voir ainsi. Je le dirigeai vers le salon ou je l’aide a s’assoit après avoir ferme la porte. Je pris une bonne respiration lui pris la main.Ok, si tu n’es pas capable de me répondre, fais signe de tête. As-tu pris ta médication ce matin ?S’il ne l’avait pas pris. Je pouvais toutefois appeler un collègue médecin pour lui facer venir une dose médicament chez moi. Car c’était un pourtant pour l’aide se calmer. Je lui pris la main lui carresse entend sa réponse.

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Pourquoi j'avais pensé à elle en premier pour de l'aide? Peut-être était-ce parce que nous venions tout juste de passer une nuit complète ensemble... Je n'en sais rien. J'aimerais avoir la réponse à cette question, mais mon esprit est si embrouillé que je ne parviendrais pas à y répondre. Je suis devant la maison de la blonde après la journée de travail, que j'avais étrangement réussi à faire. À genoux, je tenais ma tête entre mes mains, deux des premiers indices indiquant ma crise. Une silhouette se dresse à mes côtés, s'étant penchée pour m'observer, m'oppresser, comme si elle voulait restreindre complètement mon espace vital, m'étouffer. Je désespérais que la jeune femme ne m'ouvre pas encore la porte. Si ça continue, je risque seulement de m'effondrer sur le coin, les genoux repliés contre moi-même et de vivre un moment d'enfer.

Soudain, comme si ma prière avait été entendue, silencieusement, la porte s'ouvrit. Je vois bien les pieds devant moi, mais je ne peux pas redresser la tête pour confirmer que c'est bien Arielle. Toutefois, lorsque j'entends sa voix, je sais que c'est elle. Elle m'aide à me redresser ainsi qu'à aller jusqu'à son canapé où je me laisse choir en passant les mains dans mon visage plusieurs fois, comme si j'essayais de me réveiller de quelque chose, d'un cauchemar. Il y a cette voix qui ne cesse de me crier dans les oreilles. Il y a la présence de Willa qui me fait toujours du mal à chaque fois que je la vois.

Elle me demande si j'avais pris ma médication. Je secoue la tête que non. La peur avait déformé mes traits.Soudain, comme si ma prière avait été entendue, silencieusement, la porte s'ouvrit. Mes yeux faisaient souvent de drôles de mouvements de chaque côté, comme si je surveillais quelque chose d'invisible à ses yeux à elle. Je ne veux pas blesser personne. Peut-être avais-je eu la mauvaise idée de venir la voir? Dans cet état, il y a certaines choses que je ne peux pas contrôler. Elles apparaissent par hasard et souvent avec violence. Comment pourrait-elle aider quelqu'un comme moi en ce moment? J'ignorais, bien sûr, qu'elle avait un collègue médecin, j'imagine psychiatre, pour pouvoir m'aider à éviter de claquer d'ici la prochaine heure puisque mon coeur bat tellement vite, mon corps est tellement tendu que je ne sais pas ce qui pourrait arriver d'ici une heure.

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Je suis la pour toi c'est que les amis font non être la l'un pour l'autre

Je me demande pourquoi il était venu ici ? Je ne le connais pas temps que ça. Mais même temps j’étais contente de savoir qu’il me fessait confiance quand il ne sentait pas bien. Je dois dire que j’étais un peu surprise de le voir ici chez moi. Par terre, je dois dire que serais un moment que je n’oublierais pas tout de suite. Je dois que ça me faisais un peu peur tout ça. Mais je devais reste forte j’avais vécu beaucoup de choses dans ma vie aussi. Puis je suis qui pour le juger. Je ne sais pas ce qu’il a vécu avant moi. Donc ce que je devais faire c’est l’aide. C’est donc pour sa-là que je vais inviter entre chez moi. Je l’aide s’assoit sur le divan. Je dois dire que le voir me fessais sentir mal. D’habitude je n’étais pas ainsi avec mes autres patients. Peut-être parce que je commençais a sentir quelque choses pour lui. Bref je pris une bonne respiration avant de lui dire quoi que sois avant tout. Je le fixe du regard lorsque que je lui demandais s’il avait pris sa médication. Il me dit que Non. Je le regarde dit dans ma tête Merde. Je savais qu’il avait des problèmes de sentais. J’avais déjà une de ses crises avant lors de notre premier rencontre mais là je me sentais encore plus toucher. Je pris tout de suite mon téléphone et je texte un collègue Médecin. Le Dr Parker. Je lui demande m’envoyer une dose de la médication aiderais mon ami. Et que c’était urenge. Il me dit qu’il le ferait. Je lui dis que je lui expliquerais toute sa demain ou après qu’on se croiser. Je laisse mon cell sur la table et je regarde Isaiah. Je dois dire que le voir commença me donner le goût de pleure. Je lui caresse la main pour le montrer que j’étais la. Je veux juste qu’il aille mieux. Je savais que son médicament lui ferais du bien. Le Dr Parker m’avais dit qu’il envoyer une infirmière de tout urgence chez moi. Sa devais donc être long. Je continue de le regarde dans les yeux un peu choc par tout. Je ne sais pas pourquoi mais cette fois je ne savais pas quoi faire. Je continue de le regarde et lui dit doucement.Ta médication arrive bientôt ? Tu crois peux tenir le coup? Je peux faire quelque pour te calmer.Je m’assis à côté de lui caresse doucement les cheveux. Je voulais juste qu’il revient a la réalité avant un peu. Je devais le garder avec moi. Je savais aussi que sa santé commença a être en jeux. J’avais peur. Je ferme les yeux pendant moment. Il ne fallait pas que je mets a pleurer. Mais je ne savais plus quoi faire. Je pris une bonne respiration et lui :Reste avec moi regarde-moi pense à notre hier Juste que tu me regarde J’essaie du mieux que je peux de la garde avec moi. Je veux juste qu’il me regarde pense a autre que la vision qu’il voie. Je ne sais pas qu’il voit. Mais cette personne ne lui fessait vraiment de bien. Sa me fait plus peur, je ne suis pas médecin mais je connais plein de choses car mon métiers je vois beaucoup de personne différente.Je..Non je ne peux te dire sa quand tu as commença
Hs la dernière est dans sa tête comme une pensée

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Parfois, on fait des choses inconscientes. Notre corps dirige pour nous de façon automatique, alors que nous n'avons rien ordonné. Le système nerveux possède sa propre voie qui permet à l'être humain de survivre, même si celui-ci ne réfléchit plus vraiment. On le remarque surtout dans les situations de stress intense ou en cas de vie et de mort. L'adrénaline est si forte que presque toutes les pensées explosent, mais notre corps réagit de façon instinctive pour survivre. Je crois que c'est dans le même principe que je me suis retrouvé devant la porte de la jeune femme. Je ne peux moi-même pas dire pourquoi elle. Mon subconscient m'a poussé ici et je n'ai pas trop l'envie ni même le temps de faire demi-tour pour retourner chez moi. Trouver un revendeur dans le coin risquait d'être difficile puisque je ne connais aucun revendeur dans mes contacts qui le soit.

Lorsque la porte s'est ouverte, j'ai été assez content dans un sens, je le sais... Même si je ne m'en aperçois pas vraiment vu ma condition. Si je n'ai pas mes médicaments, la drogue fait habituellement le travail nécessaire le temps que je puisse les prendre. Calé dans un canapé avec son aide, j'ai levé les mains sur ma tête, plongeant plus profondément dans mes délires. Je crois que, sincèrement, je ne suis pas supposé être ici, avec elle. Elle mérite d'avoir mieux qu'un camé comme moi dans son entourage. Je ne veux pas plus la faire souffrir. Elle m'annonce qu'un de ses collègues pourra venir me donner l'une des doses de mes médicaments. Je voulais sauter partout. Je voulais délaisser la seule partie d'humanité saine qu'il me restait, mais c'est la voix d'Arielle qui m'empêcha de le faire.

Repenser à ce qui s'est passé hier... C'est très facile à dire, mais les images sont assez floues, à cause, de ce torrent dans ma tête. Tout n'est devenu que ça: le bordel. Peut-être qu'un geste m'aidera un peu à me détendre avant que son collègue n'arrive? Je lève le regard afin de la regarder dans les yeux et de façon instinctive, je viens placer une main contre sa joue et je rapproche sa tête de la mienne afin de l'embrasser. Étonnement, le baiser n'est ni brusque, ni même violent. Il est doux. Durant ce court moment, mes mains ont semblé arrêter de trembler et j'ai simplement fermé les yeux afin de me concentrer sur elle et sur ce que je ressens avant de replonger dans mon délire. J'espère seulement qu'elle ne m'en voudra pas...

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Je suis la pour toi c'est que les amis font non être la l'un pour l'autre

Je ne le connais pas vraiment mais je sais qu’il n’était pas bien. Je la vue lors de notre première rencontre. Je dois dire que je voulais comprend ce qu’il vivait. Parfois dans mon métier je voyais des gens mal je faisais tout pour essaie de le comprendre. Mais lui il n’était pas un patient mais une personne à qui je tenais et je commence à tomber amoureuse. J’avais peur de le perdre la en ce moment chez moi. Je ne savais pas trop quoi faire. Mais j’étais contente qu’il soit venu chez moi. J’étais heureuse que ma petite sœur ne sois pas présente car serais trop dure lui explique ce qui passer. Je savais très bien la drogue pouvais surement l’idée mais je fume et je n’avais pas de drogue. Il venait de me confirme. Je voyais qu’il voulait partie. Je me sentais vraiment mal. Je me retenais pour ne pas pleurer mon corps étais proche. Je le regarde. J’avais médecin et il avait envoyé en infirmière en urenge. Je voulais juste que cauchemar fini.J’essaie de trouver des solutions pour le calme le pauvre ils tremblent de partout. Pour moment je crois avais marcher car il embrassa. Je laisse faire tout en prolonge le baiser doux. Je pris une bonne respiration tout en continue de l’embrasse. Je me demandais quand ce médecin arriva. Parce que je sentais pourrais empire. Je ne pouvais plus parce que je ressentais quelque chose de fort pour lui et le voir ainsi me donner juste le coup de pleure. Je ne sais pas encore combien de temps je tiendrais sans pleurer devant lui. Je lui caresse la main toujours en le regarde dans les yeux. Mon autre main lui caresse doucement les cheveux. Je voulais qu’il reste avec moi accroche moi-même si il ne me connaissait pas beaucoup. Tout à coup, j’entendis la sonnette de la porte. Je le regarde dans les yeux pendant moment. Puis-je dit entre de baiser C’est ouvert.Je vis entre l’infirmière chez moi. Je m’éloigne un peu. Elle m’explique tout ce que je devais faire pour lui donner sa médication. Je la serre dans mes bras et la remercie pour tout. Elle me dit sa pourrais prendre un peu de temps avec la médication face son effet mais que je devais garder espoir. Je lui souris. Partie quelque seconde dans la cuisine cherche deux bouteille eau une pour et l’autre moi. Je revenu devant lui et lui dit :Voici ta médication. Tu es capable de la prendre seule ? Tu peux fais signe et ouvert ta bouche je vais le faire.e ne savais pas s’il pouvait le faire. S’il ne pouvait je le ferais. J’avais mis la pilule dans sa main et je lui tendis la bouteille. Je le regarde toujours dans les yeux pour garder le contact avec lui. Je pris une gorgée d’eau. Et je replace ma robe qui était rendu tout monté. Après tout je ne pense pas que il reste avec moi. Juste peur je voulais retourne dans ses bras. Perd une personne que j’aime je ne pense pas que je vais pouvoir survivre bien longtemps. Mon amour d’enfance m’avait complète laisse car il était incapable d’accepter ses actes. Donc le perdre lui me ferais mal.Je veux que tu restes ce soir. tu te reposes et je vais occuper de toi.

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Lorsque l'on parle de sentiments amoureux, tout peut prendre une nouvelle tournure. Souvent effrayante au début, pour se transformer en merveilles dans plusieurs cas, mais aussi en terribles cauchemars dans d'autres. Je ne saurais pas vraiment où me mettre dans certaines situations face aux autres, parce que justement j'ai du mal à comprendre mes propres sentiments. Je sais que j'ai aimé une fois une fille que j'ai retrouvé morte. Certes, elle était liée à un gang de rue, mais le mystère plane encore et toujours: est-ce réellement à cause de cette histoire reliée au gang ou y avait-il autre chose? Je soupire. Tout cela devient réellement un fardeau dans ma tête. Déjà que je n'allais pas bien avant sa rencontre, la mort de Willa m'a tout simplement déchiré et je suis devenu le fantôme que je suis aujourd'hui. L'homme qui n'est presque plus rien. Qui ne mérite pas de vivre dans la société d'aujourd'hui. Je ne me rends pas compte du temps qui passe ni même de la sonnette de la maison qui avait retenti lorsque le médecin est arrivé.

Je ne me rends compte des choses que lorsqu'elle met dans ma main les pilules et dans l'autre une bouteille d'eau. Je sais encore comment les prendre, mais l'envie de le faire était bien diminuée. Après tout... ferais-je bien de les prendre ou de rester le fou que je suis? Ce n'est qu'au bout de quelques minutes seulement que je décide de les prendre et de les faire glisser avec deux gorgées d'eau. Elles feront effet d'ici une demi-heure environs, comme d'habitude. Je ne sais pas exactement si ce sont les mêmes que l'on m'a prescrit, mais elles ont intérêt à faire effet !

Je me suis passé nombre de fois les mains dans les cheveux en fermant les yeux. Même lorsqu'Arielle se mit à parler, je suis restée dans la même position. Je n'ai même pas levé les yeux vers elle. "- Je n'ai pas besoin que tu prennes soin de moi comme si j'étais un enfant, Arielle. C'est plutôt dévalorisant plutôt qu'aidant..." Je ne voulais pas que l'on me prenne en pitié. Ce n'est pas du tout ce que je veux ! "- J'apprécie que tu veuilles m'aider, mais je n'ai pas besoin que l'on soit à mon chevet constamment..." En quoi être constamment surveillé pouvait m'aider déjà que j'avais cette impression venant de l'ombre qui n'existe pas? "- Rester ne me dérange pas, mais comme je t'ai dit, s'il faut que tu m'aides ce ne sera que la base. Je ne veux pas que tu me surveille comme si j'étais sur le point à chaque seconde de me briser quelque chose, d'accord?" J'apprécie qu'Arielle s'en fasse pour moi, mais si elle n'arrête pas de me surveiller comme une sangsue, là je risque d'être mal à l'aise et de ne pas vraiment apprécier.

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Je suis la pour toi c'est que les amis font non être la l'un pour l'autre

Je venais lui dire que je l’aime. J’avais juste peur de le perdre. Je devais lui dire que je ressentais. Mais je doute même que sa sois le bon moment. Après ce qu’il vivait en ce moment. Je dois dire que je ne connaissais pas grand-chose de lui. Mais je savais qu’il doux et gentil avec moi. Je savais qu’il sera là pour moi quand j’avais besoin de lui. Donc sa me fessais du bien de savoir ça. Puis après ce que j’avais vécu avec mon ex. Je dois dire que ce n’était pas facile et être avec lui fessais un genre bien être en moi. Je me sentais mieux et je l’avais bien vu hier soir lorsque j’avais couché avec lui. J’avais cette peur de retomber enceinte tout ce que je souhaite c’est qu’il ne finit en moi. Bref, si j’étais le cas je le garde je ne voulais pas tuer un autre enfant. Mais la été pas la question en ce moment, j’étais là avec lui. Il ne feellais pas du tout.

J’avais compris ses signes qu’il souffre hallucination enfin. Parfois être psychologue aide les choses, je venais lui donner les pilules. En lui disant qu’il devait les prendre. Je vis qu’il hésite mais je ne pouvais pas faire grand-chose car c’était son choix et non le mien après tout. Je ne pouvais pas le force. Je fus plutôt soulage en le voyant les prendre. Je n’étais pas prête le voir mourir ou encore souffrit devant moi. Je souris et lui pris la main doucement. Je me sentis tout à coup mal. Par mes propre paroles moi je voulais qu’il soit mieux. Je n’avais pensé que je serais en train de le traiter enfant. Je soupire et le regarde.

Oh je suis désole mais je veux juste que tu sens mieux.. Je ne voulais pas traitre comme enfant. Sa fais peur de toi voir ainsi et je suis encore un peu sur le choc.

Je pense que j’avais juste réagi ainsi par la peur m’avais envahi. J’avais vue entrain de souffre. Je ne pouvais pas voir une personne que je commence aime ainsi. Après tout c’était normal qu’on n’aime pas voir une personne ainsi. Je baisse les yeux.

Je suis désole.. je voulais juste t’aide..

J’ai toujours les baisses yeux vers le sol. Je me sentais mal d’avoir osé agir ainsi avec lui. Je pense que l’amour avait parlé. Je n’ose même plus le regarde dans les yeux. Je ne sais même pas s’il voyait à quel point je tenais à lui. Je pris une bonne respiration en garde main dans la sienne.

Je ne compte pas te surveille tout le non plus. Je veux être là pour toi quand tu as besoin de moi comme une amie. J’ai déjà ma petite sœur a surveille donc sa me fais déjà beaucoup de travail. Je te promets que je ne vais pas te surveille.

Je levai les yeux en souriant et je lui caresse la main. Je voulais qu’aille mieux. Je pris une bonne respiration et dit

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La dernière chose que je désire, c'est de blesser des gens. Toutefois, sous cette forme de démence, je n'ai pas trop le contrôle de mes paroles ni même de mes gestes. Ce que je veux dire peut sortir plus durement que je ne l'avais souhaité au départ. J'avais bien remarqué le regard de la jeune femme se baisser lorsque je lui ai parlé de ne pas me traiter comme un enfant. Je pense que je m'en veux... je m'en veux si je l'ai blessée. Ce n'était guère dans mes intentions. Sa petite soeur à surveiller? Je lève la tête vers elle lorsqu'elle me caresse la main. Je lève l'une des miennes qui se dépose contre la sienne et je la caresse doucement en plongeant mon regard dans le sien. "- Je suis désolé, Arielle... Mes paroles peuvent parfois dépasser mes pensées lorsque les médicaments n'ont pas encore totalement fait effet... Je ne voulais pas te blesser si c'est ce que j'ai fait."

Je ne voulais pas que la jeune femme pense que je voulais lui faire du mal. Elle est là, après tout, pour m'aider. C'est moi qui suis venu à sa porte afin de lui demander de l'aide. N'est-ce pas déjà un bon indicatif de mes intentions? Si je n'avais pas voulu que l'on m'aide, je serais resté cloîtré dans mon appartement et j'aurai crevé tout seul. Seul. Voilà pas mal le mot qui me convient. Depuis la mort de Willa, j'ai eu quelques aventures ici et là, mais ça s'est toujours terminé brusquement ou ce n'était l'histoire que d'une nuit sans lendemain. Soit parce que la fille ne voulait pas plus, même si souvent, c'était moi qui la poussais à s'en aller, car je n'étais guère prêt mentalement à faire face à l'occasion d'aimer ou de ressentir les sentiments de l'amour à ce temps-là de ma vie.

Je libère sa main afin de venir déposer la mienne sur sa joue. "- Tu ne sais même pas le 1/3 de ma vie Arielle... Ce que tu pourrais découvrir risque de te faire du mal ou tu auras pitié de moi. Je n'ai pas laissé personne s'immiscer dans ma vie depuis très longtemps... Et ça, je t'avoue que oui, ça me fait peur." Ce n'est pas le fait de m'engager envers quelqu'un qui me fait peur, mais la crainte d'être blessé et abandonné de nouveau que ce soit volontaire ou non. Comme la mort de Willa qui ne fut pas accidentelle, mais qui aurait certainement pu être évitée si on avait repéré les bons indices plus tôt. J'aurai dû la raccompagner. J'aurai dû être là pour elle et cela me fait encore mal aujourd'hui de repenser qu'elle serait peut-être vivante si j'avais fait plus.

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Je suis la pour toi c'est que les amis font non être la l'un pour l'autre

Je savais que ce n’étais pas vraiment de sa faute. Que s’avait un lien avec sa maladie. Mais je ne sais pas venais quand même me touche et me blesser. Peut-être parce que je suis en amour avec lui. Bref je ne sais pas vraiment. Je le regarde dans les yeux et me laisse caresse par lui. Je pris une bonne respiration. J’avais autre chose à faire que de surveille les gens. Ma petite sœur me demande beaucoup de savoir ce qu’elle fais et où elle est donc . Je n’avais pas vraiment besoin d’autre personne surveille.Non excuse pas je comprends tout fais. C’est sure que j’ai trouvé un peu blessant. Mais je ne t’en veux pas. Je comprends tout à fait.Je savais très bien que n’étais pas de sa faute mais pareil sa m’avais fait de quoi. Je ne voulais pas qu’il sent mal. Mais je sais que je pourrais passer à travers. J’avais vécu beaucoup plus chose horrible que ça. Je ne connais pas vraiment grand-chose sur lui. Je savais qu’il était mal mais c’est tout. Je pris une bonne respiration et le regarde dans les yeux ma main caresse toujours la sienne. Je laisse me caresse la joue. Je rougi par ce geste de sa part.Je le sais que je ne connais pas grand-chose de ta vie. Je ne prends jamais personne par pitié. Je n’aime pas ce sentiment la pitié. Je comprends ce n’est pas facile surtout si on n’avait vécu quelque chose de grand vraiment.Je le regarde sans même savoir sa vie. J’avais dit cela. Juste commença. En plus il ne connaissait rien moi aussi. Je n’avais jamais pris des gens en pitié. Je trouve ça ne fais pas. Par le monde mérite d’avoir ta présence pour de vraie et non l’avoir juste pour faire une Ba dans sa vie. Je pris une bonne respiration et le regarde toujours.Tu sais tu ne connais pas ma vie aussi. Mais je suis prête de te connaître plus.Je m’assis proche de lui et le regarde dans les yeux. Je ne savais pas pourquoi mais sa présence me faisais du bien. Je pense toujours a mes problèmes mais un peu moyen. Je voulais juste qu’il se sente bien avec moi. Et non je ne jugerais pas après tout mon travail et été d’être avec des gens mal. Donc je ne pouvais pas juge les gens qui entre dans ma vie aussi facilement.Je veux que te sente bien avec moi.Je vis le soleil qui brille encore un peu. J’avais encore le goût de profite de cette belle température. Donc j’avais le goût de lui proposer un endroit calme pour mieux connaître mais aussi pourrais se détendre.On pourrais boire quelque chose en parlant dans le spa tu penses quoi ? le spa a des vertu de calme donc je crois sa pourrais nous faire du bien.

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The dove and the raven - Pv Arielle