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 Perks of the job | Erika & James 

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MessageRe: Perks of the job | Erika & James écrit Ven 30 Oct - 23:45


perks of the job





Douze sur dix. C’est la note que James se voyait attribuer par la juge en chef, la seule présente, et extraordinaire amie Erika Clarke. Bon, elle serait extraordinaire pour quelques secondes, elle était certaine de tout gâcher en lui lançant une vanne plus tard. Mais James appréciait le moment. Le sourire amusé aux lèvres et un air fier, même dignifier. Sur ses deux jambes de nouveau, il ne faisait nul doute qu’il était beaucoup plus confortable ainsi. Surprise, surprise, les humains sont des bipèdes parce que la tête n’est pas un moyen pratique de se déplacer. Si James le voulait, s’il voulait vraiment titillé sa petite Erika qu’il aimait temps, il aurait sauté sur la façon dont elle avait terminé son commentaire. Le petit questionnement. Il se serait lancé dans une tirade là-dessus. Mais il était plutôt satisfait. « Parfait, merci! Et je remercie également tous mes fans dans les gradins. » Disait-il en gesticulant comme s’il essayait de calmer des tonnerres d’applaudissement de la foule. Ça ne t’empêchait pas de râler à nouveau quelques instants plus tard alors qu’elle t’avais de nouveau complimenté. Comme quoi James n’était jamais content ni consistent dans ses actions. Il agissait selon ses envies du moment toujours et celles-ci changent à peu près autant de fois dans une minute que son cœur fait de battements. « Moche? Nannnn. Je pense peut-être que hideux ou horrifiant serait des adjectifs plus justes. Mais c’était bien essayé. » Disait-il faisant mine d’être abattu. Évidemment James ne cherchait ici qu’à embêter un petit peu Erika, l’exaspérée était un des passe-temps favoris lorsqu’ils étaient ensembles bien qu’il avouerait sans détour qu’il le fait par accident la moitié du temps. C’est un talent inné chez lui il fallait croire. Parlant de passe-temps préféré lorsque ces deux-là sont ensembles, celui d’Erika s’était de retourner les conneries de James contre lui que ce soit ses paroles ou ses actes et là il avait tendu une bonne perche. James considérait cet acte comme odieux! Elle savait très bien que James ne réfléchissait jamais à ce qu’il faisait ou disait la moitié du temps, il se laissait prendre par le moment. C’était injuste à ses yeux de se moquer de lui après! Il aurait sa revanche… oh oui il l’aurait. « C’est vrai, tu as raison, c’est ton côté au neutre et inoffensif qui m’a porté à vouloir de toi comme ami. » James rétorquait avec un sourire amusé aux lèvres. « Allez je te pardonne, tout est oublié. »

Un autre moment qui avait su capter l’attention des foules avaient suivi alors que James se lançait dans une performance sans égale. Personne n’a jamais su joué avec autant de brillance un homme au cœur brisé par une pièce de lego qui l’avait honteusement trahi. Et tout ça, Erika l’avait bien compris. James hochait la tête en approbation de ses dires. « Les critiques sont unanimes en effet. Tout ça me donne une envie de matter des telenovela. Mais Netflix peut patienter sagement quelques heures. » Erika était vraiment parti loin dans son délire, mais tu aimais la voir ainsi. Elle s’amusait, tu aurais pu lui lancer un pique ou deux, mais pas cette fois. Tu souriais plutôt bêtement, heureux de voir ton amie ainsi. Ça ne t’empêcherait pas de faire tes propres bêtises et de te fâcher, même à la blague, contre Erika lorsqu’elle refusait de te cirer les pompes pour te remonter le moral comme tu le demandais. Râler c’est la vie. Cette citation sera attribuée à James Morgan. Mais Erika ne réagissait pas à cela de la manière dont James s’était attendu et il ne savait pas trop comment réagir non plus. Ce qu’il avait voulu être une plaisanterie avait pris un ton plus sérieux. Un ton avec lequel James était malhabile malgré toutes ses bonnes intentions et un ton qu’il n’était pas certain qu’Erika souhaite vraiment le voir adopter.

« Je n’y ai jamais vraiment réfléchis Erika, je ne pense pas que j’ai jamais vraiment eu besoin de réfléchir à qui tu es. Parler sérieusement, comme tu le sais très bien n’est pas mon fort. Mais… je ne sais pas. Je veux le faire quand même.. quitte à me brûler les ailes. Tout ce que je sais, c’est que même savoir ton histoire ou ta vie d’avant qu’on se soit connu j’ai toujours pensé que quleque chose nous liait depuis la première fois que j’ai croisé ton regard. Je n’ai pas une vie tragique, mon enfance aurait pu être bien pire et les erreurs dans ma vie j’en suis la seule et unique cause. Je le sais. Mais à la fin, ça ne change pas qui j’étais, qui je suis ou qui je serai. Et je pense que même si nos cicatrices ne sont pas les mêmes. Peut-être pas aux mêmes endroits. Peut-être pas de la même ampleur. On a une certaine façon de voir les choses et de réagir au monde qui nous entoure d’une façon qui se ressemble. Peut-être pas la même approche… moi j’aime tout prendre à la légère et faire dans l’auto-dérision. Comme si ça duperait qui que ce soit. Comme si ça me ferais oublier que je n’ai pas toujours été en paix avec qui je suis, et je ne suis toujours pas d’ailleurs. Je veux toujours plus. » James avait l’impression de dire n’importe quoi, de se couler, ce qu’il disait était vrai à ses yeux mais pourquoi le disait-il, où s’en allait-il avec ça? Il pensait avoir su lorsqu’il s’était lancé mais il avait tord. Il s’en rendait bien compte désormais, mais il continuait quand même. Pour une raison ou une autre ce qu’Erika avait dit l’avait profondément affecté même si ce n’était pas ce qu’Erika cherchait comme réaction il s’en doutait.

« Je n’ai pas terminé… appeler moi Monologue Morgan mais voilà…Je sais que tu ne veux pas devenir quelqu’un d’autre. Je sais que tu t’aimes comme tu es. Moi aussi d’ailleurs, pourtant… je ne pense que changer soit vraiment un choix. Enfin, oui et non. Moi la façon de débile dont je vois ça… c’est plutôt comme une évolution. Nous sommes la somme de nos expériences. On devient ce dont on a besoin pour se rendre jusqu’à demain. Je suis qui je suis, parce que je cherche à me protéger. Et tu qui es tu es, pour tes propres raisons aussi, j’imagine, et je ne pense pas que c’est un choix que t’as fait, pas complètement. Si nos circonstances change nous aussi. Les miennes ont changé j’ai changé, et pourtant je ne dirais pas que je suis différent. Je suis toujours moi-même et je ne regrette rien. Mais je ne suis définitivement pas celui que tu as connu il y a 10 ans. Enfin, je dis ça je dis rien… je sais même pas pourquoi j’ai ouvert ma bouche pour rien dire. Profitons du reste de la soirée…»

James disait souvent qu’il ne regrettait jamais ses actions. Mais là, il se demandait vraiment qu’elle mouche l’avait piquée. Heureusement, la transition à des choses plus rigolotes avaient été rapide, même si ça avait aussi été à tes dépends. Ce cliché ou cette vidéo qu’elle avait prise, James l’aurait. Il se devait de l’erradiquer. N’empêche que tu ne pouvais pas t’empêcher de rire lorsqu’elle disait que tu fantasmais sur elle. « Toutes les nuits? N’exagère pas! Une nuit sur deux… tout au plus. » Le cri de famine de l’estomac d’Erika mettais fin aux hostilités. Vous vous lanciez maintenant dans la conquête de la cuisine où se cachait mille et une délicieuses surprises qui conviendrait sans doute à sa chère Erika.

James avait fait un arrêt beauté aux toilettes et était venu rejoindre Erika qui s’était déjà servi… d’ailleurs soit ses yeux le menait en erreur soit elle n’avait pas chômée vu le peu de temps qu’il était partie et la bouffe qui semblait avoir été consommée. « C’est pas mon intention de te dicter un régime, tu manges comme tu veux hein, mais comme tu es partie… je pense que tu peux dire adieu à ta ligne. Alors, dans ma grande générosité, et pour ton bien surtout!! C’est très important. J’accepte de me servir. » James prends le verre de vin qu’elle lui avait tendu et y goûtait. Pour être honnête, James n’aimait pas autant l’alcool, que l’effet de l’alcool et ce n’était pas différent avec le vin aussi dispendieux et sans doute délicieux pouvait-il être aux yeux des autres. Mais celui-là était pas mal, il était prêt à l’admettre. « C’est mieux que ce à quoi je m’attendais. » James fouillait pour le homard et se servait un peu. « Bon, heureusement qu’ils ont une tonne métrique de bouffe parce qu’au rythme qu’on vide le frigo, il pourrait presque finir par remarquer la différence. Mais je crois qu’ils ont un chef et qu’ils ne font pas leurs courses… alors peut-être pas. » Tu allais prendre une grosse bouchée lorsque tu aperçu un mouvement du coin de l’œil. Tu te retournais pour jeter un œil et… tu criais comme jamais tu n’avais crié devant Erika. Tu sautais sur la chaise où tu t’étais assied pour manger et prenais un objet pour défendre ta vie. « UN RAAAAAAAAAAAAAAAAAT. ATTENTION. » James frappait le rat avec un balais plusieurs fois avant de s'arrêter. Le rire d'Erika l'avait distrait. Pourquoi n'avait-elle pas peur? Se demandait-il. Il reculait d'un pas prudent, prêt à se défendre à tout moment, pour se rendre compte que le rat... était bien un rat. Mais il était en caoutchouc. C'était un jouet, probablement pour un chat. D'une manière ou une autre il avait dû être activé...  Il se retournait vers Erika et la froudroyais d'un regard suspicieux.

« Robert, c’est toi? Si c’est toi ou quelqu’un de ta famille, faites-vous entendre. Sinon j’appelle la police et vous allez être dans un sacré pétrin. »

« Merde. On est grillé. » Lâchait James. Ils échangeaient un regard complice avec Erika, et ils se comprenaient tout de suite. James faisait un peu de bordel dans la luxueuse résidence. Faire genre c’était des cambrioleurs ou quoi. Il se sentait un peu coupable, mais hors de question que cette histoire lui retombe dessus. Il rejoignait rapidement Erika à la porte arrière. Et ils se faufilaient tous les deux par-dessus la clôture de bois pour se retrouver dans la cour du voisin. Le même qui les avait surpris. Bon, la réalité c’est que James avait servi d’échelle humaine pour Erika, mais ça lui était égal. « Je dois y retourner et couvrir mes arrières avec les boss. Je te dis à la prochaine. » Ils se quittaient à ce moment et James contournais la demeure pour rejoindre le voisin devant la maison où il se présentait comme le contracteur des travaux. Ce qui était vrai. Ils discutaient tous les deux quelques minutes, James le convainquait ultimement que quelqu’un avait dû être blessé et c’était la raison du cri. Il lui présentait alors les clés de la maison que lui avait donné les propriétaires comme preuve qu’il était bien qui il disait être. Il ouvrait même la porte d’entrée. Satisfait, le voisin retournait chez lui. Et James de son côté s’aventurait de nouveau à l’intérieur pour faire le ménage. Il n’avait pas eu besoin d’utiliser le prétexte du cambriolage.



hrp : tu savais que ça venait.. ou peut-être pas.
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