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 Visite mécanique - Jeffrey & Erika 

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Invité

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MessageRe: Visite mécanique - Jeffrey & Erika écrit Mer 7 Juil - 20:33

Visite mécaniqueJeffrey & ErikaCe que j’aime chez toi, c’est ton piquant. Tu n’as pas ta langue dans ta poche, tu ne tournes pas autour du pot et tu ne mâches pas tes mots. Tu vas droit au but, tu te contrefous de passer pour un connard, tu es honnête et ta franchise n’est pas au goût de tout le monde. Moi ça me plait. Avec toi au moins, pas de chichis. Les petites attentions, les cadeaux et tout le tralala, ce n’est visiblement pas ton délire, tout comme celui de porter des bijoux: Non. Mais ça aurait pu. Un souvenir de famille par exemple.

On se salue comme il se doit. Une étreinte amicale bien méritée entre deux blagues. Puis, nous en venons au sujet qui fâche : Raven, avec une petite réflexion bien cinglante de ta part. Je t’expose un peu la situation, après tout je n’ai rien à cacher. Mais je tiens à ce que les choses soient claires. Heureusement, tu n’es pas le genre à polémiquer sur les relations. Qu’on soit bien clair, Raven et moi n’étions PAS en couple. Tu me demandes alors de lui transmettre un message de ta part si jamais je serai amenée à le recroiser. J’arque un sourcil et te fixe droit dans les yeux : T’es sourd ou quoi ? J’tai dit qu’il s’est tiré. J’sais pas où il est et j’veux pas le savoir. T’as son numéro, t’as qu’à l’appeler. On sent ton agacement quand tu parles de lui. Apparemment, son départ précipité n’a pas arrangé vos affaires au garage. Je vois qu’il a fait fort cette fois. Du grand Art ! Je laisse échapper un profond soupire puis hausse les épaules, désolée pour toi: Qu'il joue la loi du silence et les Casper avec moi encore ça...mais bon. C'est vrai que c'était pas cool et stupide de sa part de se comporter de la sorte avec vous. Comme tu peux le voir, Raven est incapable de prendre de bonnes décisions.

Quelques minutes plus tard, au fil de la conversation, puisque tu te permets une petite réflexion, je tiens à éclaircir les choses. Je ne voudrais pas que tu t’imagines être l'unique responsable ou qu’il me faisait les réparations à l’œil. Mais visiblement, mes petites explications te passent complètement au-dessus. T’en n’as rien à carrer. Bien ! Le sujet est clos alors !

Alors comme ça Anderson, tu n'est pas le genre à rappeler qui que ce soit. Je suis déçue, moi qui pensais que tes potes avaient un temps soi peu d'importance pour toi. En ce qui me concerne, je ne recontacte que mon cercle d'amis ou quelques potes avec qui le courant passe bien et où les délires sans prise de tête sont assurés. Et puis, comme je l'ai si bien précisé, ce n'est pas comme si on avait couché ensemble toi et moi. Non pas que ça m'aurait déplu car t'es plutôt pas mal. Mais quand on y repense, c'est vrai que c'est étrange. Ma petite remarque t'interpelle et visiblement tu te demandes aussi comment cela se fait que nous n'ayons pas franchi le cap. Je fais mine de réfléchir : Hum…je ne suis peut-être pas à ton goût. Ou sûrement parce que je ne t’ai jamais couru après, Petit clin d’œil tout en m’accoudant sur le comptoir. Tu n'appelles donc jamais. Et pourquoi je devrais le faire au juste ? C’est bien dommage. Je suis sûre qu’on aurait passé du bon temps ensemble, petit haussement de sourcils agrémenté d'un sourire.

Pour l’occasion, histoire de se retrouver le temps d’une soirée posée, je te mets au défi sur une partie de billards. Confiante, insolente, je te provoque ouvertement. Je sais pertinemment quoi dire pour te faire réagir au quart de tour. Tu penses vraiment avoir une chance contre moi ? Tu te qualifies toi-même de devin, prétextant que tu avais prédit que Ruby finirait avec son gigolo. Je ne peux m’empêcher d’arquer un sourcil tout en ricanant : Jeff Jeff Jeff. Tu réalises que tu illustres ton soi-disant don de voyance en prenant comme exemple le couple Matt /Ruby pour m’assurer que tu vas gagner ? Sérieusement ? Je ris de plus bel. Tu m’aurais dit, je gère très bien les coups de queue ou encore je n’ai jamais manqué un trou, je t’aurais dit pourquoi pas, mais là…  dis-je pour te taquiner. A défaut de passer pour une grosse obsédée de la quéquette, je tiens à souligner qu’au billard, il s’agit bien de donner des coups de queue à des boules pour les faire entrer dans un trou ! Tu tiens le pari: Parfait ! dis-je en choppant ta main afin d’échanger une poignée pour concrétiser notre fameux pari.

La conversation vire sur une note un peu plus sérieuse. La drogue. Toi comme moi sommes passés par ce stade du t’inquiète je gère, je ne suis pas accroc. Tu te fous justement de ma gueule quand je t’affirme ne pas avoir été dépendante. Tu sais bien que c’est faux. Je le sais aussi. Tu me fais d’ailleurs un petit speech très véridique incluant ton expérience personnelle. Je prends une profonde inspiration avant de soupirer : Non c’est vrai. Tu as raison. On ne va pas se voiler la face. Disons que…pour moi, ça a longtemps été une nécessité pour…mettre ma vie entre parenthèses l’espace de quelques heures, oublier ma vie merdique et les horreurs de mon passé. Oui. J’en avais besoin. Pourquoi le nier hein ? on pense tous que ça fait du bien. Alors certes, tu planes, tu jubiles, tu t’extasies et puis ensuite, c’est la descente aux enfers. Tout comme toi, j’ai eu des crises de manque. Mais, je n’ai pas eu besoin d’un centre. Je suis juste…tombée enceinte.

Oui, des overdoses j’en ai cumulées trois ou quatre. Après ça, j’ai appris à connaître mes limites. Mais tu ne sembles pas du tout convaincu par mes arguments. Je ne vais pas t’en blâmer : Tu as raison. Pourtant, tu sais quand on passe à deux doigts de mourir, ça fait réfléchir. J’ai fait plus attention voilà tout. C’est vrai qu’un accident peut très vite arriver, même si on connait ses limites.  De toute façon, comme je t’ai dit, ça n’est plus à l’ordre du jour. J’ai décroché.

Je tente une petit approche ambigüe, histoire de rigoler un peu mais je me fais aussitôt rembarrer, ce qui me fait grandement sourire et te vaut un crevard de ma part : Je sais que tu l’assumes. C’est pour ça que j’taime bien. Ça va, détends-toi, si on ne peut même plus plaisanter. Je m’en fous de la récompense. Je ne suis pas le genre de personne qui fait pour attendre quelque chose en retour.

Bon, puisque nous avons terminé et que tout est bon pour toi, je te demandes quels sont tes plans pour cet après-midi. Hormis le boulot, rien de particulier : Bah écoute, je ne bosse pas cet aprem. Mario Kart ou Smash Bros chez moi ça te dit ?


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Jeffrey B. Anderson

Jeffrey B. Anderson
J'ai débarqué le : 13/07/2016 sur California Dream. J'ai posté : 1245 messages et j'ai un total de : 36 points. J'ai choisi : Alan Ritchson comme célébrité et je dois mon avatar à : Justyna. J’interprète également : Wyatt K. Henstridge
RP : Jaimie - Lola - Sanaa
Coucou moi c'est : Jeffrey Bryan Anderson Actuellement, je suis : célibatard et j'ai une préférence : pour les femmes sans la moindre hésitation. J'ai : un fils de 15 ans, Jaimie Keagan. Mais c'est compliqué. J'ai trouvé un job, je suis : propriétaire du Garage Riderson & mécanicien
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MessageRe: Visite mécanique - Jeffrey & Erika écrit Mar 14 Sep - 21:14

Visite mécanique

Erika Clarke & Jeffrey Anderson



Je n’ai pas apprécié le départ soudain de Raven. Je n’attendais pas qu’il me donne des explications. Je n’étais pas trop chiant pour ça. Moi aussi, il pouvait me prendre l’envie de me barrer quelque temps. La seule chose que j’attendais, c’est qu’il prévienne de son absence pour qu’on puisse s’organiser. Un simple message aurait amplement suffi. Mais au lieu de ça, il nous remerciait de lui avoir offert ce boulot en nous mettant dans la merde. Je demandais à Erika de lui transmettre le message si jamais elle le voyait avant moi. « J’ai très bien entendu et compris ce que tu as dit. Je ne suis pas con. J’ai déjà tenté de l’appeler, apparemment, c’est trop compliqué pour lui de répondre. Et pour ta gouverne, le monde est petit, même si tu ne veux pas le voir, il n’est pas impossible que tu le recroises un jour. » S’il revenait un jour à Los Angeles, je serais plutôt d’avis de ne pas le reprendre. Il s’était bien assez foutu de notre gueule. Mais la dernière fois que j’en avais vaguement discuté avec Matthew, il n’était pas réellement du même avis. C’était dingue comment ça faisait longtemps qu’on n’avait pas eu de vraies conversations tous les deux. Mon partenaire avait la rancune tenace et moi, je n’avais aucune intention de présenter mes excuses. Je ne ressentais aucun regret pour mes actes et j’en étais encore moins désolé. Je me fichais complètement que Raven fasse des réparations sur la moto d’Erika et de la manière dont elle le payait. Ça ne me concernait pas, c’était le temps de son mec, sa main d’œuvre, il en faisait ce qu’il voulait.

Je trouvais cela assez étrange qu’Erika et moi n’ayons jamais coucher ensemble. Un mystère que je ne comprenais pas. Rares étaient les femmes que je côtoyais avec lesquelles je n’avais pas couché au moins une fois. J’arrivais assez facilement à mettre une femme dans mon lit. Quand je le souhaitais, je pouvais être un beau baratineur et je mettais tous les moyens en œuvre pour parvenir à mes fins. Mais Erika était une exception. « Hum, si tu es plutôt à mon goût. Je n’ai pas vraiment de type de femmes. Je n’ai pas besoin qu’on me court après. » Quand c’était pour une seule nuit, ça n’avait pas la moindre importance. Seule la performance au lit avait une réelle importance. En général, ses femmes-là, je ne les revoyais plus après. « Oui, c’est bien dommage. Je pense, qu’on se serait bien amusé. Mais tu sais ce n’est pas trop tard, ça peut toujours s’arranger. » Dis-je en plaisantant.

Erika me défiait dans une partie de billard. Je reconnaissais également que j’étais légèrement devin. « J’avoue, l’exemple est mal choisi. Mais tes exemples n’ont rien à voir avec la divination, ce sont des performances. Des performances que je réalise très bien peu importe dans quel sens, tu les entendais. » À mes oreilles, les mots qu’avait employés Erika avaient clairement un double sens. Pour moi, elle ne parlait pas seulement de billards. Je relevais le défi et le pari, un accord que nous scellions par une poignée de mains.

Nous parlions ensemble du sujet qui nous a fait nous rencontrer : la drogue. Apparemment, Erika avait décroché ce qui était une bonne chose pour elle. Auparavant, ses nouvelles ne me réjouissaient pas, étant donné que ça me faisait perdre des clients. Par conséquent, une énorme somme d'argent. Mais maintenant que je n’étais plus dealer, c’était réellement une nouvelle qui me ravit. C’était bien quand les gens se prenaient enfin en main. Tout ce qu’Erika décrivait concernant la drogue, je le connaissais bien, même trop bien. Mais c’est la dernière partie de sa phrase qui m’interpella. « Quoi ? T’es enceinte ? » Décidément, les grossesses étaient un bon moyen pour arrêter les excès et se débarrasser d’addiction. Sanaa avait également arrêté de boire quand elle était tombée enceinte. Sa fille lui avait probablement sauvé la vie et sa relation avec Jaimie.

Qu’on m’insulte de tous les noms, qu’on me considère comme un crevard ou un radin ne me fait ni chaud, ni froid. J’assumais chacun de mes actes, chacun de mes choix, chacun de mes mots et j’en assumais sans aucun problème les conséquences. « Je suis totalement détendu, y a aucun souci de mon côté. C’est toi qui te vexes et réagis comme une gamine parce que je te refuse un cadeau que tu réclames. » Erika ne travaillait pas cet après-midi, ce qui n’était pas mon cas. Elle proposait une partie de jeu vidéo. « Tu n’es vraiment pas pressé de récupérer ta moto toi... Si tu veux, je peux te rejoindre chez toi dans une heure. Je dois finir la voiture que j’ai commencé avant de partir. Je n’aime pas laisser les choses en suspens. »

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Dernière édition par Jeffrey B. Anderson le Dim 28 Nov - 11:58, édité 1 fois
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MessageRe: Visite mécanique - Jeffrey & Erika écrit Dim 14 Nov - 12:42

Visite mécaniqueJeffrey & ErikaVisiblement, le départ anticipé et improvisé de Raven t’as laissé un goût très amer. Il te reste toujours en travers de la gorge. Ça se comprend ! Je n’ose pas imaginer le bordel que ça foutrait si Charlie me faisait un coup pareil. C’est bien simple, il vous a lâché comme des merdes en mettant les voiles je ne sais où. Des fois, je me demande s’il réfléchit quand il fait de telles conneries. Je ne comprends pas ce qui peut lui passer par la tête des fois. Tu sembles persuadé que nos routes se croiseront de nouveau. T’as peut-être raison. Mais ça ne sera certainement pas dans mon pieu ! Tu marques un point Jeff, décrocher son putain de téléphone semble trop difficile pour lui. Je hausse les épaules : Monde petit ou pas, la prochaine fois que je le recroise c’est ma main dans sa gueule qu’il se mangera. De toute façon, je doute qu’il refoute les pied à LA de si tôt. De toute façon, s’il le faisait, tu saurais l’accueillir comme il se doit.

Combien de temps qu’on se connait déjà ? Je ne sais plus. Un bail. Etonnamment, tu fais partie des rares potes avec qui je ne me suis jamais envoyée en l’air. Je ne sais pas pourquoi d’ailleurs car, il faut avouer, t’es sacrément bien monté. Et visiblement, je serais à ton goût. Le timing ? L’occasion ? Comme on dit, c’est bien dommage ! Je connais ta réputation auprès des femmes. Tu es exactement le genre de mec qui n’attends rien de personne, exactement ce qu'il me ! Ravie de l’apprendre. Toi aussi t’es pas mal tu sais. Petit sourire. C’est vrai j’oubliais, tu n’as qu’à claquer des doigts qu’elles sont déjà à tes pieds

Main sur la hanche tandis que l’autre s’appuie sur le comptoir, je te dévisage avec une certaine malice, presque coquine. J’arque une sourcil, humecte mes lèvres tout en laissant apparaître un sourire taquin : Oh ça oui, je n’en doute pas !  Fais attention Jeff, je pourrais te prendre au mot. La question est, est-ce que tu pourras assumer derrière, petit haussement de sourcils provocateur.

Tant que nous sommes dans la provocation, autant tirer un peu plus sur la corde. Je te défie sur une partie de billard, un pari que tu ne peux bien entendu pas refuser. Tu aimes trop la compétition, et c’est ce qui me plait chez toi. On n’a pas le temps de s’ennuyer. Donc comme ça, tu es…divin ? Et bah quelle charmante modestie ! Tu réalises que ton excès de confiance devient tout à coup très intéressant ? ça te donne un côté très sexy ! Mais, attention, ne sous estimes pas ton adversaire. Elle pourrait te surprendre. Tu le sais. Tu me connais. J’aime jouer, et ce, dans tous les sens du terme. Tu sais aussi que je n’ai aucune limite, c’est ce qui rend les parties de jeux tout particulièrement intéressantes ! on ne sait jamais à quoi s’attendre. D’ailleurs, je m’amuse un peu avec le côté polysémique des mots. Quoi ? Les coups de queues, ce n’est pas qu’au pieu, mais au billard aussi. Là encore, je pense que je ne vous apprends rien. Toutefois, lorsque les mots sortent de ma bouche, ils s’avèrent bien plus sexuels que techniques. Allez savoir pourquoi…

Tu penses ? Pourtant ce n’est pas moi qui aie inventé les règles au billard. C’est…universel. Tout le monde le sait Pour toi, la divination n’a rien à voir. Il s’agit plutôt de performance. Ah ! je vois. Je ne peux retenir un sourire lorsque tu prétends être un adversaire et partenaire performant, car cela va de soi, cette discussion est à double sens : Tiens donc ? il me tarde alors de voir ce que tu vaux. Pari tenu.

La discussion se recentre sur un sujet un peu plus sérieux. La coke. Toi et moi, on s’est connus à une époque où tu fournissais encore tes clients tandis que je m’en donnais à cœur joie. J’en prenais beaucoup. J’en avais besoin: un besoin maladif, de me délester du poids de mon passé, un besoin de mettre ma vie entre parenthèses, un besoin d’aller mieux. On s’imagine que c’est l’unique solution et ça nous fait du bien, alors que c’est tout le contraire. Le problème avec ce genre de merdes, c’est qu’on tombe rapidement dans une spirale dont nous seuls pouvons mettre un terme. En général, frôler la mort par overdose à plusieurs reprises remet les idées en place. Pas forcément pour tout le monde. Mais pour moi, ça l’a été. Je n’ai aussi rien à cacher. Je ne vais pas clamer haut et fort que je n’ai jamais été accroc, ça serait mentir et tu me connais, je ne mens jamais. D’ailleurs, c’est au fil de mon récit que tu apprends pour ma grossesse, une info qui ne passe pas inaperçue. Je hausse les épaules : Je l’étais. Et j’ai décidé d’avorter.

Je m’amuse un peu à te taquiner, mais cette fois tu ne rentres pas vraiment dans mon jeu. Etonnant, toi qui déconnes toujours d’habitude. Ta réponse même finit par me surprendre. J’écarquille les yeux : Me vexer ? Pour ça ? Tu rigoles ou quoi ? j’m’en fous, j’te faisais chier c’est tout. Tu sais que j’aime ce côté j’m’enfoutiste de toi, je souris puis me racle la gorge, la vache, sur combien de gonzesses reloues tu es tombé pour penser que je m’offusquerais comme ça pour de la merde ?

Bon ce n’est pas tout, mais je pense qu’il est temps de te laisser continuer à bosser. Puisque tu proposes de se revoir à l’occasion, autant faire d’une pierre deux coups. Je suggères une partie de jeux vidéos chez moi et tu acceptes de m'y rejoindre dans une heure : Oh si ! C’est mon petit bébé, mais je ne veux pas te presser pour que tu t’en occupes si tu as d’autres véhicules en priorité. Je peux attendre un peu. Okay pas de soucis. T’inquiète, finis ce que t’as à faire et on se retrouve chez moi tout à l’heure. Je t’envoie l’adresse par message. Je te fais un petit clin d’œil ainsi qu’un dernier sourire avant de sortir du garage pour aller prendre le prochain bus.

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MessageRe: Visite mécanique - Jeffrey & Erika écrit Dim 23 Jan - 19:30

Visite mécanique

Erika Clarke & Jeffrey Anderson



Moi non plus je n’étais pas contre l’idée de mettre mon poing dans la tronche de ce petit merdeux de Raven qui s'était bien foutu de nous. Mais je laisserais ce plaisir à la jolie blonde. Pour ma part, j’espérais que Raven n’aurait pas le culot de se présenter une nouvelle fois au garage. Je n’étais pas le genre de personne à donner une seconde chance aux gens. On me décevait une seule fois et c’était fini. Ou alors, il fallait vraiment le mériter. Je n’avais pas l’impression que c’était le cas pour Whitmore. Il nous avait mis une fois dans la merde, je ne lui donnerais pas l’occasion de le faire une seconde fois.

Un mystère n’avait pas encore été résolu. Comment se faisait-il qu’Erika soit l’une de mes rares connaissances féminines qui n’était pas passée dans mon lit ? Certes, ce n’était pas un passage obligatoire et heureusement, mais c’était quand même étrange. J’étais même certain, que cette expérience ne m’aurait pas déplu. Enfin tant pis, ça ne devait sûrement pas se faire tout simplement. Pour Erika, je n’avais qu’à claquer des doigts pour qu’une femme tombe à mes pieds. « C’était peut-être vrai à une époque... » C’est vrai que quand j’étais barman, je faisais des ravages. Mais je crois que l’âge ne me réussit pas vraiment. Quand je dis que l’étrangeté pouvait être corrigée. Erika me provoquait un peu en disant que je ne pourrais pas assumer. « Tu veux qu’on vérifie ça ? » Je rentrais facilement dans son jeu.

Erika me défiait dans une partie de billard. Elle était persuadée qu’elle me battrait à ce jeu-là. Mais si j’étais elle, je n’en serais pas si sûre. Le seul moyen de le vérifier et le plus simple était donc, de se faire une partie en prenant les paris. Sinon ce ne serait pas drôle. « On verra ça quand tu veux. » J’étais entièrement disponible pour ça.

La conversation se tournait vers un sujet plus sérieux comme la drogue. Apparemment, elle avait arrêté ce qui était une bonne chose pour elle. Ce qui l’avait poussé à arrêter, c’était une grossesse, bien qu’elle ait préféré l’interrompre. « Tu as bien fait, ça évite des emmerdes. » En disant cela, je pensais inévitablement à Jaimie et au bordel que j’avais créé en lui dévoilant la vérité sur mon lien avec lui. Ça avait mis un vrai bazar. Ça avait pris des proportions auxquelles je ne m’attendais pas. Il était évident que je ne connaissais pas mon fils encore moins son caractère. Sanaa m’avait prévenu que ça se passerait mal, elle connaissait mieux que quiconque Jaimie. Mais je ne l’avais pas écouté. Je n’en fais toujours qu’à ma tête. Maintenant, seul le temps nous dira comment les choses se dérouleront.

Le nombre de nanas relou sur lesquelles je suis tombé. Il y a bien un bail que j’avais cessé de les compter. « Tu n'as même pas idée. » J’avais parfois rencontré de vrais phénomènes. C’était le risque quand on collectionnait les conquêtes et encore ses dernières années je m’étais pas mal calmé. Erika me proposait de passer chez elle, ce soir. Le temps que je passais avec elle, c’était du temps que je ne consacrais pas à sa moto. Je lui faisais remarquer, mais ça ne l’embêtait pas d’attendre. « D’accord, j’attends ton message. Je te dirais quand je décolle. »

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