Vous connaissez bien la phrase “ de toute manière toi, tu as été adopté” dite vous que j’ai la chance de pouvoir la sortir à ma petite sœur. Je suis né le dix juillet mille neuf cent quatre-vingt-dix. Tout va bien pour moi, j’ai eu la chance d’avoir des parents vraiment aimant avec une bonne éducation, mais voilà ma mère souhaite avoir un second enfant. Pourquoi venir bousculer notre équilibre, nous étions bien tous les trois, pourquoi adopter une petite fille , car oui mes parents on décider de faire les choses bien chiant jusqu’au bout ? Au lieu de prendre un petit garçon avec qui je pourrais m'amuser, ils ont décidé d’adopter une petite fille. Après, je n'aurai pas dit non pour adopter un chien ça aurait été beaucoup plus simple et moins compliqué pour moi !

Malgré tout, maintenant, je comprends pourquoi ma mère à fait le choix d’adopter , lorsqu’elle à découvert qu’elle ne pourrait plus avoir d’enfants ce fut vraiment une grosse perte pour elle. Mes parents m'ont toujours encouragé dans ce que j’aimais , j’ai trouvé une passion pour la photographie et j’ai fait le choix de faire des études d’art. C’est un métier assez bancal , c’est une chance sur deux de réussir dans ce genre de métier et pourtant, ils me font confiance.

Je profite de la vie, je sors, je profite de mes amis, je surveille ma petite sœur qui sort un peu trop souvent à mon goût et je la retrouve toujours dans des endroits improbables où elle n’a pas le droit d’être avec des tenues qui pour moi ne devraient pas être portées par elle… J’avoue, je ne supporte pas le regard que les hommes ont sur elle. C’est difficile de vivre avec elle sous le même toit, j’ai cette attirance que je tente de contrôle comme je peux… Je ne comprends pas comment c’est possible, même si nous n’avons pas les mêmes parents, c’est ma sœur, on n’a pas à ressentir ça pour un membre de sa famille.


Un soir ma sœur se retrouve dans une même soirée ou je me trouve ou plutôt une boite de nuit bien sur j’ai garder un œil sur elle , elle était avec cette abrutie qui lui servait de petit ami. Je remarque qu’elle enchaîne verre après verre et lorsque je la vois partir avec lui ni une ni deux, je les suis . Mon sang ne fit qu’un tour lorsque je le vois la toucher et qu’elle tenter de le repousser en même temps, elle était toute fine sans force comment pouvait-elle pouvait repousser ce genre de mec ? Je l’attrape par le col avant de commencer à  la frapper rien ne m'arrête, j’étais vraiment dans un état second ce qui m’arrête, ce fut la voix de ma petite sœur, je me rendis compte de ce que je venais de faire. Je regarde mes mains et je regarde le visage de ce type… On rentre à la maison le laissant là au sol, il n’était pas mort heureusement.

Mais ce soir-là, ce fut vraiment le déclic qui me dit que cette pulsion, ses sentiments n'étaient réellement rien de bon et j’avais remarqué que son regard avait changé sur moi. Et il suffit d’un soir ou nos parents se sont absentés pour céder à cette tentation.

Directement, je prends la décision de m’éloigner, j’étais majeur, il était temps que je parte d’ici je voulais intégrer une nouvelle école d’art qui se trouve à New York. Me voilà dans le premier vol le lendemain. Ses messages sont nombreux, je tente de rester distant froid . Qui généralement n’est pas mon genre. Je fais ma vie à New York , je commence à me faire connaître un peu pour mon art et aussi pour les quelques photos que j’ai faites et que j’ai pu montrer dans des expos d’ami.

Toutes les bonnes choses ont une fin, il est temps de rentrer à Los Angeles, ma mère aimerait me voir revenir, car oui, depuis mon départ, je n’ai plus remis un pied à Los Angeles, je cède alors à ma mère et lui annonce mon retour. Bien évidemment, je ne reviens pas vivre chez elle, j’ai trente-trois ans, je n’ai plus l’âge de vivre chez eux et surtout, j’aime mon indépendance et il me faut un atelier. J’ai trouvé ce que je voulais un peu éloigné de la ville dans une maison pas immense non plus , mais au moins dans le jardin il y a une dépendance où je pouvais mettre mon atelier !