Juliet est ce qu'on peut appeler une tête de mule. Comme dit l'adage, quand elle a une idée en tête elle ne l'a pas ailleurs. Bon courage d'ailleurs pour la faire changer d'avis. Quand elle s'y met, elle peut être plus tenace qu'un pitbull.
Elle sait aussi se montrer très calme, appréciant des moments de répit ou même de méditation. La jeune femme a tout de même gardé de la fougue de sa jeunesse, étant restée plus ou moins adepte de certains sport de combat. N'y voyez pas une envie fulgurante de ce batre, plutôt un signe d'indépendance. Elle veut pouvoir se défendre seule. Ju' n'apprécie pas du tout qu'on puisse lui coller une image de demoiselle et détresse et fait tout pour casser cette idée qu'on pourrait se faire d'elle en voyant sa carrure.
Appliquée, Juliet en vient presque à avoir un petit côté perfectionniste. C'est même pire lorsqu'il s'agit de ses passions. En photo, elle est très critique avec elle-même. Et en écriture, ce n'est pas beaucoup mieux.
Maman poule, elle couve sans doute un peu trop son fils. Mais elle l'a en bonne partie élevé seule alors qui pourrait vraiment la blâmer ? A par son fils peut-être, qui ronchonne parfois qu'elle est trop protectrice. 
Juliet a du mal à se poser. Peut-être parce qu'elle a un fils de dix ans et qu'en général, les hommes qui ont la trentaine ne sont pas prêts à s'engager sur du plus ou moins long terme avec une femme qui a déjà un enfant à gérer. Et peut-être que d'une certaine manière, elle espère que le père pointera un jour ou l'autre le bout de son nez. Oui, Juliet reste encore assez romantique malgré tout, se prenant parfois à rêver du retour de ce garçon.